L’auteur-compositeur-interprète à l’univers pop rock défendra son premier album « INTACT ».
Une occasion de découvrir ou de redécouvrir cette artiste qui a mis le feu sur nos petits écrans, alors imaginez sur scène ! Petit conseil : Pensez aux instincteurs !
Mais en attendant que les flammes dansent au rythme « monoien », Pascal Mono s’est confié à Flora, notre journaliste en herbe.
Nice-Première : Le 21 août, tu défendras pour la première fois ton album dans son intégralité sur la côte d’azur, ton pays, ton enfance, où tu as déjà pu écumer de nombreuses scènes par le passé. Quel effet cela fait-il ?
Pascal Mono : C’est drôle car encore un an auparavant je jouais pas mal de reprises au Café Grand Prix (anciennement Rascasse) et aujourd’hui c’est juste à deux cents mètres plus loin, sur le port avec mon album …C’est un juste retour aux sources…Jouer devant ceux qui m’ont vu débuter donne un caractère spécial à ce concert…
N-P : Ta tournée officielle débutera cet hiver. Ton concert à Monaco se fera donc sur PBO, puisque tu es en train de former un groupe de musiciens pour la suite. La complicité chanteur/musicos ne va-t-elle pas te manquer ?
P.M. : Je me suis habitué à cette formule…Il est toujours interessant de faire les choses que l’on n’a pas faites avant…Bien sûr j’ai hâte de me retrouver sur scène avec mon nouveau groupe mais pour l’instant le « PBO » fera l’affaire d’autant qu’il sonne exactement comme l’album puique c’en est le mastering original hors voix et certaines guitares que je jouerai en live.
N-P : Ton premier album comporte un titre caché, une reprise de Led Zeppelin. L’interprèteras-tu ce soir là ?
P.M. : Bien sûr, c’est un morceau énorme.Je le jouerai en acoustique à 100%.
N-P : Tu es auteur-compositeur-interprète. Dans lequel de ces 3 domaines te sens-tu le plus à l’aise ?
P.M. : C’est vrai que ça fait peut-être beaucoup pour un seul homme mais pour moi une chanson c’est un tout qui vient ou pas…Dans une chanson paroles et musique sont toujours une question d’osmose…Je crois que je me sens plus auteur et interprête que compositeur qui me semble encore aujourd’hui être un bien grand mot sans doute parceque j’ai été élevé dans la musique classique et le jazz au départ avant d’apprendre la pop le blues et le rock en total autodidacte. J’ai appris à « composer » des chansons en jouant au départ sur les disques de Dylan et des Beatles!
N-P : Ce premier album, où tu t’interroges sur notre société, à l’aide de jeux de mots, de questions existentielles, où tu parles également d’amour, te colle à la peau. N’est-il pas difficile de faire partager autant de soi avec un public ?
P.M. : Ce qui est difficile c’est de ne rien partager que des futilités ou des considérations sur la météo, je n’ai jamais sû faire ça.
N-P : Comment tes proches vivent t-ils ton succès ?
P.M. : Avec fierté et joie bien sûr mais le succès n’est pas une finalité en soi. Ce dont ils sont fiers, c’est du contenu d' »Intact ».
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