Je n’admets pas que Christian ESTROSI fasse un amalgame entre les délégations qu’il confie aujourd’hui aux ralliés « peyratistes » et la présidence de la Commission d’Appels d’Offres et la Commission des Finances qu’il a confiée à ma demande et après négociations à deux de mes colistiers, Mari-Luz HERNANDEZ-NICAISE et Yann LIBRATI, qui sont des opposants et qui effectuent un travail remarquable à mes côtés.
L’exercice de ces responsabilités est apparu en 2008, dans une ville sensible aux affaires de corruption, comme une façon efficace de servir l’intérêt général de la Ville, sans être assimilés à l’ouverture.
Ce n’est en aucun cas une caution de la politique menée aujourd’hui par le Maire de Nice.
Patrick ALLEMAND , Conseiller Municipal , Président du Groupe Changer d’ère