En distribuant au sein de l’assemblée municipale prébendes et postes,
Christian Estrosi s’est offert le silence, la passivité, la complicité
et parfois la soumission d’une bonne partie de l’opposition.
Cela à droite comme à gauche.
Commentant dans le journal Nice Matin le dernier ralliement en date, le
maire de Nice a posé la condition cardinale de celui-ci : ne pas
entretenir de contacts avec Nissa Rebela !
À travers ses déclarations, Christian Estrosi nous désigne une fois de
plus comme la principale opposition à sa politique destructrice de notre
ville et de notre identité.
Et, bien entendu, c’est aussi notre allié Jacques Peyrat qu’il cherche à déstabiliser.
La vérité, comme le montrent les diverses gesticulations estrosiennes
des dernières semaines, c’est que le maire de Nice craint plus que tout
la constitution d’une plateforme pour Nice, rassemblant largement, pour
les élections municipales de 2014.
Il peut compter sur nous pour poursuivre notre travail dans ce sens.