L’auteur développe la philosophie de son ouvrage avec une première partie historique, puis il explique les axes et pivots d’une future politique pour sa ville. Un thème majeur en ressortait : celui de la proximité des décisions. La verticalité de ces dernières allant du bas vers le haut, mais également du haut vers le bas.
Richard Pogliano compare Nice et ses quartiers, à l’assemblage de plusieurs villages, chacun ayant son identité et sa culture.
L’auteur est surtout un économiste et il insista sur la nécessaire activité économique de la cité. C’est un tissu, fait d’artisans, petits commerçants et petites entreprises, qui assure la vie des quartiers et donc de Nice.
On l’aura compris, Monsieur Pogliano ajoute à la littérature pré-électorale des prochaines municipales sa plume. On peut dégager de son ouvrage un amour de sa ville, de ses racines et l’économiste rompt d’une certaine façon avec le discourt ambiant de la mondialisation.
Le livre de Richard Pogliano par son titre et son contenu est une invitation au coin du feu, une rencontre avec l’auteur. Il s’adresse à chacun de nous, il semble nous parler personnellement et là, il innove par rapport aux autres ouvrages des candidats, eux déclarés, aux prochaines élections municipales de Nice.
Un livre à lire, un projet pour notre cité.
Thierry Jan