Quinze jours après la rentrée des classes des collégiens et lycéens, Hassen, Amavi et Honorat ont eux aussi faire leur rentrée. Au programme séance de dédicaces à la boutique du club qui auront fait rêver de nombreux jeunes supporters présents.
De l’impatience avant l’arrivée des trois joueurs et des sourires après avoir reçu la carte signée. C’est le résumé de l’après-midi des nombreux supporters, petits et grands, présents à la boutique officielle de l’OGC Nice. Pour l’occasion, le club avait convié le défenseur Jordan Amavi (20 ans), le gardien Mouez Hassen (19 ans) et l’attaquant Franck Honorat (18 ans). Objectif, faire plaisir aux jeunes niçois qui n’ont pas la chance d’approcher de si près leurs joueurs préférés.
« On ne s’attendait pas à une telle affluence ! Avec Jordan (Amavi), en rigolant, on a même pensé appeler des amis (rires) mais nos supporters ont répondu présent, comme d’habitude. » confie Mouez Hassen, gardien titulaire des Aiglons cette saison.
Durant près d’une heure, les trois joueurs de l’OGC Nice ont signé les cartes éditées par le club mais aussi des trousses, des sacs, des casquettes… Un grand bonheur pour les plus jeunes supporters qui sont repartis avec des étoiles plein les yeux à l’image de Théo : « Prendre une photo avec les joueurs de Nice, je n’oublierai jamais ce souvenir. Ils ont été super gentils, j’afficherai leur carte au-dessus de mon lit ».
Pour certains joueurs, les résultats des cahiers de vacances se sont révélés fructueux à l’image de Jordan Amavi et Mouez Hassen qui ont démarré cette nouvelle saison dans la peau de titulaires. Mieux encore, ils ont participé en entier aux cinq premiers matches disputés par les Aiglons en Ligue 1.
« On a bien travaillé donc on est récompensé mais le chemin est encore long, il ne faut pas relâcher les efforts » expliquait le défenseur gauche, Jordan Amavi, dans une ambiance très décontractée.
Ce moment convivial était l’occasion pour les Aiglons de donner des conseils aux jeunes qui rêvent, eux aussi, d’un jour, porter ce maillot rouge et noir.
« Il ne faut pas négliger l’école dans un premier temps. Sur le terrain, il faut être à l’écoute des entraineurs et bien enregistrer leurs conseils. Plus tard, qui sait, ce seront eux qui motiveront la nouvelle génération » souriait Franck Honorat.