A marge de la séance du Conseil Métropolitain, le président Christian Estrosi a pris les apparences du maire de Nice pour revenir sur le referendum sur l’ aéroport de la veille et son résultat..
A la surprise générale, alors que d’après les standards internationaux reconnus, une participation d’environ 16 % est considéré un flop colossal, Christian Estrosi s’est lancé dans un exercice de haute voltige, statistique et intellectuelle, pour la transformer en un succès incontesté (sic !) qui pèsera lourd dans la suite (passage de la loi au Sénat).
N’ayant pas les divinations du Maire-Président et tenant compte de l’atmosphère burlesque de cette période de Carnaval, voici une possible solution de laquelle Christian Estrosi , qui cherche une solution anti-loi Macron pourrait, s’inspirer…
En effet, la República de Nissa, suite aux résultats du plébiscite sur l’Aéroport de Nissa du 19 février, s’engage à ne pas privatiser cette entité indispensable au développement économique de la República de Nissa.
Et, quand la República de Nissa sera souveraine sur son territoire, elle pourra remplacer l’Etat français dans les 60 % qu’elle détient.
Ce Plébiscite, rappelle celui des 14 et 15 avril 1860 (concernant l’Annexion de Nissa à la France) qui s’était déroulé dans des circonstances troubles, où les nissarts n’avaient pas pu choisir librement, l’armée française étant déjà présente depuis début avril. 25 933 habitants de l’ancien Comté de Nissa y avaient participé
