La douzième édition du Monte-Carlo Film Festival de la Comédie est officiellement commencée ! La comédie, genre particulier et marginal dans la société cinématographique, est le fruit de la passion de faire rire, « de partager avec le public » un sentiment.
La comédie nous permet de rêver et parfois d’apprécier beaucoup plus un pays, tel que l’Italie, lorsqu’un réalisateur tel que Massimo Troisi, nous inonde de rires et de sourires avec ces œuvres.
La conférence de presse qui a eu lieu, avant hier, a donné le coup d’envoi au Festival avec son créateur Ezio Greggio accompagné de la plupart des membres du jury de cette nouvelle édition.
Un petit talk-show de Markus Duffner, sélectionneur des 8 films en compétition, dévoilant la typologie des divers films.
Cette édition se veut internationale et innovatrice, car cette année, en compétition, un nouveau genre de comédie rentre en scène: l’humour-noir, ainsi que d’une comédie ponctuée de psychologie avec la recherche du bonheur. De plus la comédie, inspirée des mangas japonais, sera aussi présentée.
Les membres du jury ont fait part de leur passion, et de la définition de ce qu’est la comédie.
Peter Bogdanovich définit que « le sourire du public confirme dans l’immédiat le succès, qui n’est pas évident avec les autres film ».Tout se joue dans les détails et la perfection de la symbiose des acteurs et du réalisateur. Car oui, comme l’a-t-il soutenu: « une seconde suffit pour faire la différence ».
La comédie est un choix de vie, une partie intégrante d’une enfance bercée par le cinéma qui a poussé Claude Zidi et Yllka Mujo a devenir réalisateur et scénariste.
Présente également, Maria Grazia Cucinotta, actrice italienne, productrice et réalisatrice, a débuté au cinema à coté de Greggio, en 1990, avec la comédie Vacanze di Natale.
