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22 novembre 2024

Immobilier: Zoom sur la loi de finance 2016

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Après des années de disette et une année 2015 en légère reprise, 2016 annonce des chiffres qu’on avait plus l’habitude de voir. Cette relance du marché un immobilier est plutôt une bonne nouvelle.

Un peu de bons sens et réalisme après les années « jacobines » du ministère Duflot et l’action efficace du lobbying des acteurs économiques du secteur ont remis la situation sur les rails avec une séries de mesure qui ont fluidifié et redynamisé le marché.

Première bonne nouvelle, la reconduction du PTZ+, dont l’élargissement l’an passé, avait suscité l’engouement dans la profession. mais avec obligation les futurs propriétaires doivent engager des travaux de rénovation, représentant au moins un quart du coût total de l’opération. Les artisans du bâtiment en profiteront bien.

Au total, en incluant les logements neufs, le PTZ 2015 a profité en huit mois à 31 620 ménages, loin de l’objectif gouvernemental d’atteindre les 70 000 sur l’année (source ministère).

L’extension du PTZ dans l’ancien à l’ensemble des 30 000 communes de la zone Ccouvre 90% du territoire et 40% de la population. . Ce qui veut dire que 8 français sur 10 peuvent bénéficier de ces conditions.

Concernant le secteur neuf, le dispositif Pinel ne devrait pas être modifié en 2016, ce qui est très satisfaisant selon le . Grâce à Pinel l’investissement locatif repart progressivement et devrait enregistrer une hausse de +20% cette année.

Le nouveau projet de loi ne prévoit aucune mesure pour relancer la construction, sachant qu’on attend toujours les 500 000 logements nécessaires. On atteint, au troisième trimestre, 345 000 logements.

Quant au marché immobilier traditionnel, il y a une reprise de la demande significative. Les prix se sont stabilisés et n’évolueront que très peu. La tendance est également à une évolution de +8 à 10% du nombre de transactions sur l’année 2015. Ce sont des chiffres que nous n’avions pas vu depuis 3 ans.

En parallèle de tout ça, les taux d’intérêt restent extrêmement bas, car il y a très peu d’inflation.

Tous ces indicateurs devraient contribuer au retour de la croissance.

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