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22 novembre 2024

Pascal « Mono »polise le Nikaïa !

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2-94.jpgDu rock puissant version Led Zeppelin à l’envoûtement d’un David Bowie, Pascal Mono ne laisse pas son public « intact » après sa prestation de mercredi soir…

C’est en nous faisant partager ce premier album en live mêlé à de jolies surprises que l’enfant du pays donne une âme à la salle 700 du Nikaïa ce 4 avril.

La soirée débute avec une première partie, des amis italiens-niçois de Pascal : The Running Birds. De quoi bien chauffer la salle avec des rythmes endiablés, de purs solos de guitare gérés par Fabrizio, les birds commencent à donner le ton de la soirée… ROCK’N’ROLL !!!!
Une demi-heure de concert qui a l’air de plaire au public, bien que très impatient d’entendre mister Mono faire rugir sa guitare en alu’ et nous chanter « son époque »…

3-68.jpg Et quand il arrive dans la pénombre, accompagné de ses musiciens, c’est une acclamation unanime. Oh oui Pascal était attendu ce soir là… Pas seulement par un public niçois, mais par des fans venus de Toulon, Fréjus, Carcassone, Montpellier, Clermont Ferrand, Lyon, Paris, Italie, tous là pour le soutenir dans sa ville natale.

Premier effet de lumière, premier écho de grosse caisse, c’est sur « grand A », un des titres les plus pêchus de l’album, que Mono transporte les spectateurs dès la première seconde de concert.

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Alain de Campos (drums) et Vince Dudignac (basse) descendus de Paris, mais aussi deux niçois, François Calais (guitare) et Matthieu Saque (guitare & choeurs), mettent le feu aux planches avec des sons rageurs, parfaits pour accompagner le timbre chaud et rauque de notre grand artiste qui donne tout ce soir.
Les 12 morceaux de l’album sont retravaillés pour la scène, ça envoie du encore plus lourd qu’en studio, du rock comme on l’aime, et comme on en redemande.

L’alternation électrique/acoustique pour des morceaux plus planants comme « les étoiles » donne toute son ampleur au show que nous propose mister Mono. Il se retrouve tantôt au centre d’un mélange renversant qui fait grincer les murs de Nice, avec une complicité incroyable envers chacun de ses musiciens, tantôt dans une douceur féline, seul en guitare voix, les yeux fermés, plongés dans son monde, dans ce qui le fait vivre, sa source d’eau fraîche, sa musique.

C’est vêtu de noir, habité, que le groupe s’attaque à des titres mythiques comme « Immigrant Song », « Poison Heart », « Starman »… On entendra d’ailleurs le public dire aux 4 coins de la salle « comment fait-il cela ? », « Je préfère ses versions aux originales… », « Il est impressionant ce mec là ! »…

Et c’est après un rappel de circonstances qui nous donne droit à 4 titres supplémentaires, dont un inédit qui figurera sur le prochain album (sortie prévue pour 2008), que le concert se clôture sur le titre phare d’intact, « mon époque », remanié avec « highway to hell » d’ACDC. Cosmique.

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Site Officiel : www.pascal-mono.com/

Site de Fans : https://pascal.mono.free.fr

Photgraphies faites par Marie Christine Molina

Auteur/autrice

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