Pierre Lees-Melou, Adrien Tamèze et Jean-Victor Makengo, les trois nouveaux arrivants de l’OGC Nice, ont été présentés à la presse hier matin.
Dans les entrailles de l’Allianz Riviera, l’OGC Nice a donné rendez-vous à la presse en fin de matinée. Jean-Pierre Rivère et Lucien Favre accompagnaient les trois nouvelles recrues, chacun se présentant à tour de rôle.
C’est d’abord Adrien Tamèze, nouveau numéro 5 du Gym, qui a pris la parole. « Ça se prononce Tamézé », précise d’entrée l’ancien Valenciennois. Ce dernier est ravi de rejoindre le projet niçois et espère marcher dans les pas de Wylan Cyprien (entre autres) pour franchir une étape. « Je suivais déjà les Aiglons, qui étaient très plaisants à voir jouer la saison passée », explique-t-il. « J’ai déjà des amis ici : Alassane Pléa, Arnaud Lusamba et Rémi Walter ». Adrien Tamèze a en effet été formé à Nancy avant de rejoindre Valenciennes.
Jean-Victor Makengo a ensuite pris le relais. Transfuge de Caen, le jeune joueur de 18 ans, que l’on compare déjà à N’Golo Kanté ou Nampalys Mendy, était très convoité, comme l’explique Jean-Pierre Rivère : « Il y avait beaucoup de concurrence sur ce dossier », et Lucien Favre de rajouter que « Jean-Victor est suivi depuis très longtemps par l’OGC Nice ». Jean-Victor Makengo a choisi de porter le numéro 27 cette saison.
Celui qui se fait appeler JV souhaite principalement progresser et comme il l’explique, sourire aux lèvres, « je n’ai pas pu refuser le projet niçois. J’ai dit oui tout de suite ». Une autre preuve que le Gym est devenu un club attrayant et séduisant.
Enfin, Pierre Lees-Melou, le dernier arrivé du Gym, s’est ensuite installé face aux journalistes. Il a choisi le numéro 7, et il rappelle qu’il était encore surveillant il y a quelques années : « J’aimais bien mon ancien métier. Mais je réalise la chance que j’ai aujourd’hui de me lever pour jouer au foot. C’est pour cela que j’ai toujours le sourire. Ça me donne envie de continuer à beaucoup travailler ».
Les trois joueurs ont hâte de fouler la pelouse de l’Allianz Riviera : « J’étais venu jouer avec Dijon l’an passé. L’ambiance était superbe », se souvient Pierre Lees-Melou. Tamèze et Makengo, eux, n’avaient pas eu cette chance. « Tout ce que je sais, c’est qu’ils sont chauds, ici » conclut JV Makengo.