Le nouveau nom du parti de Marine Le Pen ne semble pas être en syntonie avec sa signification: « Rassemblement ».
Pour l’instant, au contraire, est source de litige quant à qui en est le titulaire.
En fait, selon tel Igor Kurnik, président d »un micro-parti qui aurait participé aux élections municipales à Vitrolles en 2014 et à une cantonale ( canton 3 des Alpes-Maritimes) aux départementales en 2015, c’est lui, par personne intermédiaire, qui l’aurait déposé à INPI.
La dénomination a bien été déposée le 30 décembre 2013, au nom d’un certain Frédérick Bigrat, qu’Igor Kurek présente comme son adjoint de l’époque et que , après leur rupture, « aurait cédé » le nom au FN.
Au minimum, l’histoire est opaque et on comprend mal comment un parti qui a l’ambition de gouverner un grand pays comme la France puisse se trouver mêlé à une histoire semblable avec des personnages sulfureux.
Une histoire tellement absurde qu’on évoque le recours au tribunal pour arriver à rétablir les droits du « vrai » propriétaire.
De quoi rire!!!