Le Festival du Livre de Nice, en retrouvant depuis l’an dernier son site historique du Jardin Albert 1er, est redevenu lui-même après avoir perdu une partie de son âme du côté du Cours Saleya.
Ce week-end, sous un beau soleil, on pouvait flâner dans les allées du jardin de stands en lieux de débats en passant par la terrasse du petit café installé pour l’occasion.
Pour l’auteur, ce fut le baptême du feu pour les premières dédicaces de Maria et le kiosque à musique, l’occasion de voir les copains « littéraires » en discutant de leurs nouvelles productions (à signaler un intrigant et excitant Emmanuel Kant : une vie à Königsberg de mon pote Roger Aïm), de côtoyer des stars (Douglas Kennedy comme voisin de dédicace, c’est bon pour l’égo !).
Et, comme souvent à Nice, ce fut aussi l’opportunité de faire une belle rencontre : en l’occurence Tsvia Walden Peres, la fille de Shimon Peres, avec qui j’ai pu évoquer ma rencontre avec son père à la fin des années 80.
Donc un grand bravo aux organisateurs de la part d’un auteur comblé, on attend la suite avec impatience.
par Patrick Mottard