La Mairie de Nice a été, une nouvelle fois, le théâtre d’une perquisition par l’intermédiaire de la brigade financière de la police judiciaire.
A l’origine de cette affaire de « prise illégale d’intérêt », l’achat de plusieurs espaces publicitaires dans des médias nationaux s’avérerait avoir été le déclencheur des multiples investigations et auditions au sein du service communication de la ville dirigé par Jean-Charles Petitpierre qui, lui aussi, a été entendu par les enquêteurs.
Anne-Marie Vaille, l’assistante de ce dernier, a été placée en garde à vue au commissariat Auvare en attendant les suites données à cette affaire qui secoue à nouveau les couloirs de l’hôtel de ville.
Après Vialatte, Monleau et consorts, il semblerait bien qu’un nouveau feuilleton judiciaire voit le jour dans un service qui avait été épargné jusqu’ici.
Aucune information n’a été divulguée par le parquet de Nice et le service communication de la ville de Nice n’a pas souhaité répondre à nos questions.
Affaire à suivre…