Dans quelques semaines, après cette logue période de confinement, on retrouvera la vie de toujours ?
Oui, certains retrouveront leur vie professionnelle, nous tous retrouverons les relations familiales et sociales . Pour quelques-uns ce sera le moment du deuil et de reconstruction de leur vie amputé de la présence de leurs chères.
Cette période était triste mais elle a été également l’occasion de réflexions utiles. La première est que l’homme omnipotent de l’année 2000 a perdu contre la biologie, un virus, micro-organisme infiniment petit et mobile, local et mondial à la fois.
Alors il faudra s’habituer à vivre différemment parce que le virus sera toujours présent , un vaccin ( que l’on a toujours pas trouvé) ne sera pas disponible avant 1 ou 2 ans. On trouvera peut-être des médicaments plus efficaces pour éviter tous ces décès, on organisera mieux les soins, mais il ne faudra pas relacher les gestes-barrière , ce qui signifira un changement de nos habitudes et de notre liberté individuelle et collective.
Dans ce moment , doit-on rappeler que le mot « résilience » vient du latin « resilere » qui signifie « rebondir ».
Est-elle celle-ci la clé de lecture de l’initiative de Christian Estrosi – de plus en plus Lord Protector de « ses » niçois – pour ouvrir cette consultation populaire pour l’après-confinement ?
Comment se préparer à un nouvel avenir ?
Le dilemme entre optimisme et pessimisme est inconnu au sage: la vie est optimisme ou elle n’est pas.
Malgré toutes ces incertitudes , il faudra aller en avant parce comme disent les cyclistes , ou tu pédale ou tu tombes de la bicyclette.
A partir de ce lundi , je vous propose de me faire part de vos idées, de vos propositions, vous suggestions, vos remarques , vos craintes aussi, sur l’aprés-confinement sur la plateforme: demainnice.fr