De plus en plus de créateurs s’intéressent à cette nouvelle manière de faire. Le but est de pouvoir allier production artisanale et innovation technologique. ces fabrications sont faites dans le respect de l’environnement.
Le monde de la mode est en perpétuel évolution. Les créateurs et les enseignes de prêt-à-porter s’y mettent de plus en plus. Mais les limites technologiques freinent la démocratisation de l’industrialisation par l’impression 3D dans le secteur de la mode.
Des vêtements grands publics pas pour tout de suite
Le problème majeur vient de la matière choisie. Les défilés haute couture ou les créateurs peuvent se le permettre. ils utilisent des matières qui sont compatible avec la bio-impression. C’est le cas de l’artiste Iris Van Herpen lors du défilé » Crystallisation » .En revanche, le coton et la soie n’en font pas partie. Les avantages de ces matières sont ainsi perdu (souplesse, respirabilité…) . De plus, cela risque de touché un marché de niche. Une production à l’échelle industrielle ne semble pas possible pour l’instant. Elle a tout de même un réel avantage: l’association entre impression 3D et le high-tech. On peut envisage la création de vêtements intelligents et connectés. Dans ce domaine là, on peut citer la créatrice hollandaise Anouk Wipprecht qui a créer des robés connectés.
Des semelles pour les chaussures
Les marques de chaussures Mainstream n’ont pas attendu longtemps. Adidas, Reebok New Balance. Ils proposent par exemples des semelles 3D aux mensurations des clients. Elles peuvent être fabriqués dans des matières diverses comme la fibre de carbone ou encore en caoutchouc silicone liquide Silastic 3D 3335. Grâce à l’impression 3D, les chaussures ont l’avantage d’être renforcés et en même temps très légère. Ainsi les personnalisations sont infinies. Vient ensuite la partie de l’usinage des chaussures. L’étape de l’usinage est primordiale pour créer la chaussure.