La cérémonie s’est tenue au monument aux Morts de Rauba Capeù. Le maire de la Ville Christian Estrosi était accompagné du préfet des Alpes-Maritimes Bernard Gonzalez. L’occasion de rendre hommage aux victimes qui se sont battues pour notre liberté.
Les combats pour la libération de la quatrième ville de France ont été brefs et ont fait assez peu de victimes (34 morts et près de 280 blessés).
Les FFI locaux ayant – en partie – bénéficié de la retraite allemande ordonnée par Kesselring en direction des cols frontaliers (Authion, Tende, Vésubie et Turini).
Pour Christian Estrosi, maire de Nice, « le 28 août 1944, Nice vivait son jour le plus long. Le jour de gloire était arrivé pour les enfants de la patrie niçoise, française, partis à l’assaut des féroces soldats de la tyrannie allemande, jurant que l’étendard tricolore serait à nouveau levé ».
L’orchestre symphonique composé de gendarmes
L’ensemble des services de secours publics était représenté
L’arrivée des portes drapeaux
Revue des troupes
L’ensemble des élus et des représentants de l’État lors de la cérémonie
Discours de Christian Estrosi
Des familles d’un ancien combattant dépose une gerbe devant le monument aux morts
Suivi de Pierre Paul Leonelli, adjoint à la propreté de Nice…
… et par Christian Estrosi ainsi que le premier adjoint Anthony Borré et Marie Christine FIX conseillère municipale déléguée au Monde combattant et Lien armée Nation
Du préfet Bernard Gonzalez
Minute de silence suivi des hymnes de la France, d’Angleterre, des Etats-unis, et du chant des partisans
Le traditionnel lâcher de colombes
Salutations de la directrice départementale de la Sécurité publique Nadine Le Calonnec, du maire de Nice Christian Estrosi et du préfet des Alpes-Maritimes, Bernard Gonzalez aux portes drapeaux
Fin de la cérémonie
Une photo souvenir avec les agents de la protection civile
Ainsi qu’avec les forces de l’ordre