Comme les chroniques l’ont attesté en plusieurs occasions, le protoxyde d’azote, aussi connu sous le nom de « gaz hilarant » est depuis quelques temps détourné de son usage initial pour ses propriétés euphorisantes à des fins récréatives en France et dans le département des Alpes-Maritimes.
La médecine alerte sur ces usages détournés et considère le sujet comme un problème
de santé publique.
Pour ces raisons, le Préfet des Alpes-Maritimes a pris un arrêté interdisant la vente de protoxyde d’azote aux mineurs, son usage dans l’espace public ainsi que l’abandon de cartouches de protoxyde d’azote sur la voie publique.
Cette interdiction suffira-t-elle pour endiguer cette nouvelle pratique addictive qui peut avoir des effets indésirables graves ?