Comment imaginer un samedi après-midi sans manifestation et défilé annexe ? Les motivations ne sont qu’un prétexte, ce qui est important pour les quelques centaines de « toujours présent » est pouvoir marcher et protester.
Cette fois-ci le motif officiel était la loi de privation de liberté suite à la loi sur la sécurité approuvée par l’Assemblée Nationale mais on pouvait y associer d’autres raisons tel le confinement.
Heureusement, il n’y a pas eu d’heurts comme dans la capitale ou d’autres villes.
Hier, pendant que le rassemblement se faisait, on a eu droit à un supplément: une école de danse a organisé une performance parce que cette spécialité ne fait pas parti de celles qui vont être autorisées à reprendre l’activité : « nous sommes essentiels à la vie, physique et psychique », a déclare la porte-parole.
On ne le savait pas, mais si c’est elle qui le dit, ça doit être vrai, n’est-ce-pas ?
D’ailleurs, la cheffe de file de cette période (il y a toujours un ou une qui veut faire le chef), l’auto- dénommée « Jeanne Garibaldi » (Pepin un signal pour qu’elle/lui n’abuse pas d’un nom valeureux pour cette mascarade) ne se cache pas : « nous sommes des militants anti-dictature ».
Le cadre est grotesque mais le le pire est que ces gens là (on parle d’hyper-minorités mais qui font du bruit et s’imposent) y croient, et encore plus, ils pensent d’être dans le juste.
Que voulez-vous il faut de la patience et abnégation, plus abnégation que patience, pour supporter cette violence implicite dans le comportements de ces anti-dictateurs qui, en fait, en s’imposant aux autres, le deviennent.
Il faut pas leur dire, sinon ils confondent encore plus leurs idées déjà brouillardeuse.