Élément de discussion et polémique, la convocation ou mois des élections régionales et départementales , déjà reportées de mars à juin pour cause sanitaire, est toujours sous les feux de l’actualité.
Les partis et les candidats sont déjà dans les starting-blocks et pour certains « poids lourds » ces élections font preuve de tremplin pour une éventuelle candidature à la présidentielle en mai 2022. De plus, dans certains cas, les alliances au premier ou deuxième tour, voire des désistement, feront également office de coup d’essai pour les législatives qui suivront la présidentielle.
La question est qui est dans l’air est toujours la même : les conditions sanitaires permettront la tenue de la consultation ? Et si oui , comment assurer la participation des électeurs en conditions de sécurité ?
De plus, quelle campagne électorale pourront-ils mener les candidats dans le contexte actuel , avec toutes les privations de liberté actuelle ?
La réponse du Premier Ministre ne pouvait qu’être interlocutoire…
« C’est clairement le scénario de leur maintien que nous privilégions à ce stade, » a dit le Premier ministre devant le Sénat, ce jeudi 1er avril. Le chef du gouvernement a précisé qu’il suivrait « les recommandations du Conseil scientifique » pour l’organisation des scrutins prévus les 13 et 20 juin.
« C’est clairement le scénario de leur maintien que nous privilégions à ce stade, » a dit le Premier ministre devant le Sénat, ce jeudi 1er avril. Le chef du gouvernement a précisé qu’il suivrait « les recommandations du Conseil scientifique » pour l’organisation des scrutins prévus les 13 et 20 juin.