En ramenant 33 médailles de Tokyo, le sport français est resté loin de son objectif d’atteindre de nouveau la barre des 40 podiums, comme à Rio en 2016 (42) ou à Pékin en 2008 (43). Sa performance globale le ramène dix-sept ans en arrière, du côté d’Athènes 2004, où le score avait été identique, avec une médaille d’or en moins.
Et encore, heureusement que les sports collectifs – trois titres, notamment – ont sauvé la fin d’une seconde semaine bien mièvre par ailleurs. Une contre-performance globale qui, forcément, interroge alors que se profilent à grands pas les Jeux de Paris 2024.