La cinémathèque de Nice met le cinéma italien à l’honneur cette semaine en proposant un cycle «la vita è bella», l’occasion de redécouvrir quelques-uns des plus grands classiques du septième art italien.
Il était une fois en Amérique
Il était une fois en Amérique, 1984. Sergio Leone.
Chef d’œuvre absolu et dernier film de Sergio Leone, Il était une fois en Amérique retrace la vie de gangster de David Aaronson, dit Noodles, de la prohibition aux années 60. Le mafieux se remémore son passé, marqués par les nombreux trafics dans le ghetto juif de New York, par l’ascension de sa bande dans la pègre mais aussi l’échec de sa relation amoureuse avec Déborah.
Ce drame policier avec Robert De Niro dans le rôle principal sera diffusé le dimanche 26 décembre à 17h15.
Cinema Paradiso
Cinema Paradiso, 1988. Giuseppe Tornatore.
Réalisé par Giuseppe Tornatore, il met en scène Salvatore, un cinéaste en vogue, venant d’apprendre la mort de son vieil ami Alfredo. Il se remémore alors son enfance en Sicile, passée entre l’église où il était enfant de chœur, et entre la salle de cinéma de son village dans laquelle le projectionniste Alfredo, à travers les films qu’il diffusait, apprenait la vie au jeune Salvatore.
La cinémathèque diffusera ce film le 28 décembre à 14h.
Les incorruptibles
Les Incorruptibles, 1897. Brian De Palma.
Ce film de gangster, classique absolu de Brian De Palma, met en scène Eliot Ness, agent fédéral chargé de traquer et d’arrêter les agissements illégaux d’Al Capone, campé par Robert De Niro. Face à la corruption qui règne en cette période de Prohibition, Ness recrute trois autres agents avec lesquels il formera une brigade d’incorruptibles afin d’arrêter le fameux parrain de la pègre qui domine Chicago.
Ce chef d’œuvre est à redécouvrir le 4 janvier à 14h.
La vie est belle
La vie est belle, 1997. Roberto Benigni.
Cette comédie dramatique absolument bouleversante met en scène Guido, sa femme Dora et leur fils Giosuè, dans l’Italie fasciste à l’aube de la seconde guerre mondiale. Un jour, Guido, qui est juif, et son fils sont déportés dans les camps de concentration où Dora décide de les suivre. Là-bas, Guido fera croire à son fils que les occupations dans les camps sont en réalité un jeu dont le but serait de gagner un vrai char d’assaut.
Le film sera diffusé le 30 décembre à 20h et le 2 janvier à 18h.
Amarcord
Amarcord, 1973. Federico Fellini
Fellini dépeint ici la vie de Tita, un collégien qui va connaître en l’espace d’une année, une série d’événements tantôt drôles, tantôt émouvants, dans la petite ville de Rimini, à une période où le fascisme domine l’Italie.
Le film sera projeté le 2 janvier à 15h45 et le 4 janvier à 17h.