« Nous sommes conscients de la déception que cette décision causera aux Grenoblois et aux Isérois, souligne Michel Destot. Il est de notre responsabilité de préserver l’équilibre financier des collectivités.» le faux communiqué allait même jusqu’à citer le Maire de Grenoble qui, période de crise oblige, avait décidé du retrait de la candidature. Nouvelle farce donc après l’url www.grenoble-2018.fr qui paradoxalement lance un « Allez Annecy » en pleine page…
Déjà sous le joug d’un contre-pouvoir bien organisé sous la forme d’un comité anti-olympique qui soutient le retrait de la candidature grenobloise avec 899 signatures au compteur, la ville de Grenoble s’est donc fait pirater une de ces messageries à quelques jours de la remise officielle des dossiers au CNOSF. Une vulnérabilité qui aura valu quelques coups de fil vers la mairie de Grenoble et le Département de l’Isère avant qu’un démenti ne soit finalement fait par la cité grenobloise.
Tous les coups semblent donc permis en pays isérois pour déstabiliser une candidature qui n’arrive pas à faire l’unanimité d’une ville et d’une région.
Le faux communiqué de presse
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Le faux communiqué de presse
