En été 2008, il ensoleille les ondes radiophoniques avec sa chanson qui sent bon le sable chaud ! « Enfin » se dira William Baldé.
Oui, cet artiste généreux balade ses compositions depuis de nombreuses années sur le territoire français. Il y a 10 ans, à la Bodega, il croise Christophe Maé » Il me demande s’il peut jouer avec nous et je lui réponds non, parce qu’on est déjà un groupe structuré mais que s’il veut, il peut jouer avant nous. » raconte William Baldé.
Et 10 ans après, c’est William Baldé qui fait les premières parties de Christophe Maé.
Vendredi 20 Février, c’est William Baldé qui fera le show au Théâtre Lino Ventura. En cette saison hivernale, cet artiste ensoleillera cette scène niçoise avec ses notes que l’on retrouve dans son album » En corps étranger », sorti en 2008, aux sonorités : reggae, soul et rhytm’n’blues.
Avant de vous lancer dans son aventure musicale, nous vous proposons de partir en voyage avec les images de William Baldé.
Allez, on prend la route ?
Nice-Premium : Pour commencer destination La Guinée.
William Baldé : Bonheur et souffrance
N-P : Le Sénégal
W.B. : Joie de vivre.
N-P : Allez, maintenant on prend l’avion.
W.B. : ça, c’est du dépaysement.
N-P : Et on attérit à Paris.
W.B. : Je vois Culture et Multiculture.
N-P : On descend dans le métro.
W.B. : La cours des miracles !
N-P : Et puis maintenant, destination le Sud de la France.
W.B. : L’horizon, la mer et le soleil.
N-P : Un détour sur St Tropez.
W.B. : Là, je vois des possibilité de carrière.
N-P : On va sur Nice maintenant.
W.B. : Je n’ai pas de bons souvenirs à Nice. Sur le Cours Saleya, je me suis fait embarquer par la police parce que je jouait dans la rue.
N-P : On va à Cannes.
W.B. : Cannes ? Pas d’avis. Je n’aime pas.
N-P : Et pour terminer, on va s’arrêter dans un endroit que vous aimez.
W.B. : A Paris, à Marseilles … j’aime des tas d’endroits … l’Inde, l’Asie, l’Afrique. Certains côté de l’Amérique des Etats Unis, certains côté de l’Amérique du Sud. Je ne suis pas du tout fan de l’Australie. J’aime les îles et je comprends les douleurs des gens qui habitent là bas.
