Avant de rejoindre Montluçon en finale, il fallait d’abord passer la barrière nommée Bassens. Le suspens sera de courte durée puisque les niçois n’iront pas jusqu’aux triplettes en atomisant les Girondins par 16 à 2 (5 tête-à-tête à 1, 2 doublettes à 0). Dans le même temps, Montluçon écartait Le Relecq Kerhuon plus difficilement sur le score étriqué de 16 à 15 (4 tête-à-tête à 2, 1 doublette à 2 et 1 triplette à 1). La finale s’annonçait belle avec deux belles équipes bien décidées à l’emporter.
Les têtes-à-têtes ne pourront départager les deux formations avec un score nul de 6 à 6. Quintais, Cortès et Suchaud chutant alors que Roche, Lacroix et Miléi remportaient leur confrontation. Les doublettes marqueront le début du cauchemar de l’équipe de Montluçon qui allait encaisser un impitoyable 9-0 avec les victoires des paires : Christine Saunier-Philippe Suchaud, Henri Lacroix-Simon Cortès et Pascal Miléi-Philippe Quintais.
Même punition pour les triplettes avec un cinglant 5-0 engrangé par les triplettes niçoises composées de Roche-Suchaud-Lacroix et de Miléi-Quintais-Montoro. Au final, un score de 20 à 6 qui permet aux niçois de remporter leur cinquième coupe de France de façon royale !