« Un jour je partirai… », se disait ce Sclossien. Et puis un jour, il a pris sa retraite et il est parti !
Quête religieuse ? Non, Robert ne croit pas en Dieu. « J’ai toujours pensé que le voyage est un des moments privilégiés de la quête du bonheur. Le corps en mouvement vit et découvre. Immobile on le sera tous un jour, s’empêcher de vivre devrait faire plus peur que la mort », écrit-il.
Sur son « Itinérance », il conte, jour par jour, ces marches de 18 à
30 km.
Le 30 juin, il termine son « jeu fléché de 1 550 km » : C’est « la fin du voyage ». « J’ai appris que l’itinérance, est l’occasion d’expériences
nouvelles qui permettent d’élargir naturellement ses connaissances. Evoluer jour après jour vers des lieux inconnus, apprend à maîtriser la peur de l’inexploré, de l’étranger. C’est aussi apprendre à mieux appréhender la mort ; cette ultime inconnue », rédige Robert
Cottalorda dans la préface de son livre « Itinérance ».
Un livre qui vous fait marcher sans avoir d’ampoules ! Ce livre est disponible à la médiathèque de Contes.
« C’est une chance d’avoir évolué dans cet espace de liberté, d’humanité et de fraternité ». www.baiedesanges-editions.com
