Pour son édition 2011, le concours Créaffiche a fêté ses dix ans d’existence. Organisé depuis 2001 par les élèves du BTS Communication du lycée du Parc Impérial, ce concours récompense les meilleures campagnes des Alpes-Maritimes.
Ce prix a pour but de récompenser les meilleures campagnes d’affichage 4×3 des Alpes Maritimes et de Monaco, et permet de promouvoir le média affichage en valorisant la créativité et l’originalité.
Le Jury est composé de représentants de la profession, d’artistes, de journalistes, d’enseignants et d’étudiants en communication.
Pour ses dix, Créaffiche a su s’entourer de personnalités importantes du monde de la communication.
La salle du théâtre de la photographie et de l’image se remplie petit à petit. Certains élèves du BTS se chargent de l’accueil et du placement des invités pendant que d’autres font les derniers réglages pour que la cérémonie puisse commencer. Dans la salle, professeurs, anciens élèves et professionnels de la communication sont présents.
Pour ses dix, Créaffiche a su s’entourer de personnalités importantes du monde de la communication
Le jury de cette année était présidé par Nicolas Bordas (président de l’AACC, l’association des agences en conseil de communication) et de TBWA France qui , à l’occasion de la remise des prix, a tenu une conférence sur la créativité en s’inspirant de son dernier livre « L’idée qui tue ».
Les vainqueurs sont désignés pour leurs campagnes selon trois critères : la pertinence, la lisibilité et la créativité.
Avant de laisser la place aux lauréats de la soirée (voir encadré).
Explosion du nombre de participants à l’édition 2011
Charles Scibetta, créateur de ce concours se félicite du succès de l’édition 2011. « Cette on a enregistré 48 campagnes candidates, c’est presque le double de l’an dernier » s’enthousiasme-t-il. Dans le même temps, il a tenu à féliciter tous les étudiants du BTS communication. « Tous ces élèves ont fait un travail énorme. Entre l’organisation de la soirée, la logistique, la technique, ce n’est pas rien ! » indique-t-il. Du côté des anciens étudiants, c’est la nostalgie qui prime. « L’an dernier on était à leur place, c’était beaucoup de boulot, on avait ramer jusqu’au bout mais le résultat final était plutôt réussi et on en était fier » confie Julie. En dépit de quelques soucis techniques, les élèves de cette année peuvent se féliciter du résultat.
