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22 novembre 2024

Un niçois à l’assaut des qualifications à Masterchef

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On l’avait connu comme concepteur de Nice Premium avant qu’il ne rejoigne l’équipe de la Direction de la Communication de la Ville de Nice en qualité de chargé de mission nouvelles technologies et c’est avec plaisir que nous retrouvons Franck Viano comme candidat à la qualification pour l’émission Masterchef produite par Shine France et diffusée sur TF1.


masterchef_franck_viano.jpg Le concept est simple, des cuisiniers amateurs (les candidats ne doivent jamais avoir travaillé en restauration ou avoir obtenu un diplôme dans la partie) s’affrontent dans des épreuves culinaires face à des chefs prestigieux tels que Frédéric Anton ou Yves Camdeborde. Chaque semaine, un candidat est éliminé et le vainqueur final empoche 100.000 € pour réaliser son rêve de cuisinier.

L’étape de qualification Sud aura lieu à Marseille, le lundi 14 mars prochain et Franck ira donc défier les autres candidats sudistes pour espérer entrer dans « la grande cuisine » et faire partie des heureux élus à participer à l’émission Masterchef.

Nice Premium : Alors Franck, comment s’est passée cette présélection ?

Franck Viano : Et bien j’ai envoyé ma candidature il y a quelques semaines avec de nombreux renseignements sur moi-même et, surtout, une fiche technique complète de la recette que je souhaitais présenter à la présélection (Parmentier de canard et sa tatin de fenouil). Quelques jours après j’ai reçu un coup de fil de la production qui m’informait que ma candidature avait été retenue et qui me donnait rendez-vous le 14 mars à Marseille.

Nice Premium : Que va-t-il se passer le 14 mars à Marseille alors ?

FV : Chaque concurrent doit préparer un plat froid (entrée, plat ou dessert) et un jury les départagera pour savoir qui d’entre eux montera à Paris. J’ai quelques idées déjà mais je ne sais pas encore définitivement quel sera le plat que je leur présenterai. J’ai pensé à une salade niçoise façon millefeuille, à un suprême de volaille au pistou mais d’ici là je crois que j’ai encore le temps de changer d’avis (Rires)

Nice Premium : D’où vous vient votre passion pour la cuisine ?

FV : Disons que comme Obélix, je suis tombé dedans tout petit avec d’abord ma grand-mère et ses capouns, gnocchis, pissaladière, daube ou autre tourte de blette. Ensuite, mon frère et mon meilleur ami qui sont tous deux issus de la célèbre école hôtelière de Nice et à l’origine du Fran Calin.
Puis de nombreuses autres influences par les tables que j’aime bien fréquenter à Nice… comme ailleurs !

Et puis, j’ai la chance d’avoir, chaque soir, mes quatre couverts assurés par mon épouse et mes enfants qui sont mes premiers critiques et mes fervents supporters. Pas question de leur sortir des steack hachés et des pommes noisettes à la maison, ils sont plutôt raviolis maison, langue de veau ou blanquette.

Nice Premium : Que représente pour vous Masterchef ?

FV : Ce doit être un belle aventure et pour l’avoir suivie lors de la première émission, je dois dire que les candidats avaient un sacré niveau malgré le fait qu’aucun d’entre eux n’aient jamais travaillé dans la restauration. C’est aussi une occasion unique de travailler à côtés de grands chefs et d’un spécialiste de la cuisine qui permettent de comprendre ses erreurs et, de fait, progresser.

Nice Premium : Que peut-on vous souhaiter alors pour la suite ?

FV : Et bien que la sélection à Marseille se déroule à merveille de manière à « faire monter » la cuisine niçoise dans « la grande cuisine » afin de leur faire découvrir les goûts et les saveurs d’une des rarissimes cuisines à porter le nom de sa ville.

Nous avons la chance d’avoir une cuisine niçoise riche et variée travaillant de nombreux ingrédients comme le poisson (poutine, stockfish…), les légumes (fleurs de courgettes, tomates…), les viandes (boeuf, veau…) et de nombreux autres produits que j’espère bien pouvoir travailler lors de la seconde émission Masterchef. Je ne suis pas de ceux qui « revisite » les plats traditionnels mais en garder les principales qualités tout en leur apportant une petite touche personnelle.

Pour finir, je tenais à remercier mon épouse et mes enfants sans qui je n’aurais jamais tenté cette aventure qui sera tout aussi belle même si elle venait à se terminer le 14 mars à Marseille…

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