Le 16 mars, au Palais Nikaïa de Nice, Carmen Suite et Carmina Burana, deux opéras grand spectacle internationalement connus et reconnus , se produiront sur scène pour ce qui sera le démarrage d’une tournée nationale destinée à un très large public et à la revisite d‘un genre artistique au renouveau populaire.
L’opéra pour tous ! Telle est la devise de la production DPF Prod’ qui invite tout initié ou le simple lambda à la (re)découverte des grands classiques du genre. Avec des tarifs à pâtir de 20 euros la place, c’est une ouverture à la culture et une démocratisation d’intention de l’opéra qui suit son cours. Une volonté des organisateurs mais aussi une forte demande populaire ont tôt fait de rendre le spectacle des plus incontournables.
Cette folle aventure est le résultat d’un succès hors norme à l’occasion des deux tournées nationales dans lesquelles 48 000 spectateurs se sont partagés quinze dates à travers toute la France. Une véritable épopée et une sorte de renouveau pour deux œuvres qui font partie du Panthéon de l’art lyrique en même temps que des airs favoris de la vox populi.
Au Palais Nikaïa les convives pourront savourer le lancement de cette troisième tournée avec deux œuvres grand public d’exception , interprétées par 160 artistes ( orchestre, chœur et ballet) de l’Opéra National d’Ukraine-Lviv et sous la houlette du maestro Grigori Penteleïtchouk. Pour couronner le tout, en sa qualité de ménestrel à la voix d’ange, Eve Ruggieri contera une soirée parrainée par Radio Classique.
La troupe interprétera , en première partie, une version dansée et jouée de Carmen Suite ,de Bizet et Shchedrin, suite pour cordes et percussions inspirées du célèbre opéra .
Puis l’heure de la cantate scénique de Carl Off sonnera et se produira sur scène , la version unique chorégraphiée de Carmina Burana s’offrira au public. L’occasion de découvrir ou de retrouver une partition classique célèbre , sublimée par une chorégraphie particulièrement enlevée à travers des chœurs comme O Fortuna , universellement connu grâce notamment au long-métrage de John Boorman , Excalibur ( 1981) . Une occasion rêvée pour le connaisseur et le curieux d’apprécier deux chefs-d’œuvre pour le prix d’un seul !
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