Christian PASSUELLO, cinéaste:
« Depuis une vingtaine d’années la pratique du documentaire s’est imposée comme un mode de vie.
Les problématiques de production, de rencontre avec les autres, de construction narrative, de financement ou de désir font partie de mon quotidien.
Quels que soient les thèmes abordés, la musique flamenca, le cannabis, l’enfance, l’identité ou la mémoire, finalement, ce qui arrive aux autres c’est aussi ce qu’il m’arrive à moi. Même quand je ne filme pas je suis toujours cinéaste ».
Il est pourtant un autre cinéaste, méconnu, ayant déjà roulé sa bosse dans ce style qui pourrait bien être la touche Nissarda, à mi chemin entre le documentaire et la fiction, tra realità e pantalh: Christian Passuello.
Auteur du culte « Going Back to Nissa la Bella », du plus récent « Garibaldi: Made in Nissa », ainsi que de nombreux autres reportages (de Fadoli d’oli sur l’huile de Nice à Manitas de Plata en passant par le cannabis, Bonson ou encore l’école de Nice), Christian Passuello avance plan planin, loin du marketing télévisuel.
On est d’ailleurs pas loin de l’absence totale de communication et c’est bien dommageable. En effet, qu’elle ne fut pas la surprise, en allant fouiner sur son site personnel, de trouver plus d’un film traitant de Nissa e de la Countea dont on n’avais jamais entendu parler.
Pourtant, Christian Passuello trace sa route et ses productions passent souvent sur France 3 qui a diffusé sa dernière production: Les quatre saisons du Chemin de Fer de Provence sur le train des Pignes.
En savoir plus : https://www.christianpassuello.com
