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22 novembre 2024

Thomas de Pariente : « Les dirigeants sportifs sont tributaires de leurs données »

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On n’arrête pas le progrès. Les clubs de football français ont désormais la possibilité d’améliorer leur mode de gestion administrative et sportive.

Le loquace directeur général de l’application My Coach Thomas de Pariente, présente un système original que tout entraîneur de football peut se procurer.


My Coach, sponsor du maillot du jubilé de Franck Durix. ©Julien Vacheron
My Coach, sponsor du maillot du jubilé de Franck Durix. ©Julien Vacheron

Thomas de Pariente, comment est né le projet My Coach ?

  • Le projet est né il y a deux ans et demi. Pour l’anecdote : un entraîneur de la région – dont je tairai le nom – s’était plaint d’avoir égaré un dossier papier, où il avait rangé toutes ses statistiques, etc. A partir de là, on a constaté que les coaches et les présidents sont tributaires de leurs données.

Cette application est-elle destinée aux seuls clubs professionnels ?

  • Non. Aujourd’hui, un tiers des clubs azuréens, dont les professionnels Cannes (CFA), Nice (L 1) et Monaco (L 2) disposent de My Coach. Bien sûr, les entraîneurs diplômés (de plus en plus recherchés) ont un goût avérée pour une gestion optimisée. Ceci dit, ceux qui officient dans les clubs amateurs éclairés sont aussi demandeurs Ils peuvent ainsi accéder à toute une batterie de conseils sur la gestion de l’effectif. Ils disposent d’un module d’entraînement comprenant 550 fiches-conseils adaptées à tous les niveaux et à tous les âges.

Quels sont les techniciens de Ligue 1 qui possèdent My Coach ?

  • Notre parrain, Eric Roy (OGC Nice) et le préparateur physique de Rennes, Nicolas Dyon (un des experts de My Coach) sont abonnés*. Bientôt, ils seront imités par Roland Courbis et Luis Fernandez, mais aussi Hugo Lloris [ndlr : ancien gardien du Gym, aujourd’hui à Lyon].

Y a-t-il une logique de développement ?

  • Bien sûr. On est une entreprise neuve, avec des méthodes neuves, un fonctionnement neuf. Des barrières ? On n’en a pas. Elles volent en éclats après l’essai (sic). Les deux tiers de la France ont adopté My Coach [ndlr : six nouveaux distributeurs hier]. D’ici à la fin août, on aura couvert tout le territoire.

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