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22 novembre 2024

Ligue 1 : l’OGC Nice veut se tailler la part du Lyon

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C’est reparti ! Le championnat de France de Ligue 1 reprend ses droits à partir de samedi. Maintenu in extremis en mai dernier (17e), l’OGC Nice s’apprête à recevoir l’OL au stade du Ray. Cependant, le moral des supporters a considérablement été dopé par l’arrivée d’un nouvel homme fort à la tête du club : Jean-Pierre Rivère. Avec des moyens et des ambitions à la hausse, Nice est parti sur de nouvelles bases.


Hugo Lloris effectuera ce samedi son grand retour au Ray. ©Julen Berastegi
Hugo Lloris effectuera ce samedi son grand retour au Ray. ©Julen Berastegi

A l’aube de la nouvelle saison de Ligue 1, l’OGC Nice a passé un été mouvementé. Pour la bonne cause : un nouvel actionnaire, Jean-Pierre Rivère, est arrivé à la tête du club azuréen (51 %).

L’investissement de l’homme d’affaires se chiffre à hauteur d’une dizaine de millions d’euros. Ce qui a permis au Gym de voir ses ambitions enfler.

Désormais, il n’est plus question de parler de maintien. Le recrutement opéré cet été (Monzon, R. Fernandez, Digard, K. Gomis, Meriem, Abriel) s’inscrit dans cette démarche.

Les supporters niçois ont d’ailleurs pu voir contre l’Udinese que Fabian Monzon et Camel Meriem s’avèrent déjà utiles au dispositif d’Eric Roy. Mais ce dernier planche toujours sur l’arrivée d’un attaquant, pour suppléer les seuls Eric Mouloungui et Mickaël Poté.

Lyon ne sera pas en terre conquise

Malgré un effectif encore incomplet, l’OGC Nice paraît taillé pour affronter Lyon samedi au stade du Ray. Troisièmes l’an passé, les protégés de Jean-Michel Aulas sont entrés dans une nouvelle ère.

Après le limogeage de Claude Puel, le néophyte Rémi Garde a été nommé directeur technique, faute de diplôme d’entraîneur.

Depuis, le recrutement est au point mort. Le départ non compensé de Jérémy Toulalan à Malaga s’est senti dans la préparation des Gônes. Une politique de jeunes a pris le pas sur l’arrivée de stars dont le club se faisait une spécialité depuis quelques temps (plus de 100 millions d’euros dépensés pendant les trois ans de l’ère Puel !).

Avec un effectif très peu remanié et inexpérimenté, le Lyon version 2011-2012 avance à pas de loup, mais risque de prendre des coups de bec par des Aiglons survoltés.

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