En 2011, plus de 8.000 personnes se sont abonnées à la Cinémathèque de Nice qui a enregistré 52.768 entrées pour les 914 séances proposées (478 films ont été programmés).
En ce début d’année, la programmation de la Cinémathèque de la Ville de Nice ne déroge pas à la règle et propose du cinéma sous toutes ses formes, toutes ses couleurs et pour toutes les humeurs.
LE rendez-vous incontournable à la Cinémathèque sera incontestablement la « Conversation » avec Michèle Mercier organisée le samedi 4 février à 18h30 et animée par Henry-Jean Servat. L’inoubliable Marquise des Anges rencontrera le public avant la projection en avant-première du documentaire « Michèle Mercier l’Insoumise » de Jean-Yves Guilleux également présent à cette séance exceptionnelle.
Vous pourrez aussi vous immerger dans l’univers de Marcel Pagnol avec des projections de ses films ou des adaptations réalisées par d’autres cinéastes (Marius, César, Fanny, La Femme du Boulanger, Topaze, La Gloire de mon père…) Un hommage cinématographique en écho au colloque « Passion Pagnol » qui se déroulera au Centre Universitaire Méditerranéen les 27 et 28 janvier.
La rétrospective Brian De Palma proposera, en 18 films, un retour sur l’un des auteurs majeurs du cinéma américain contemporain. Dans le cadre de ce cycle, le 11 janvier à 19 heures 30, avant la projection du film « Blow Out », Jean Douchet « Pape » de l’analyse filmique offrira ses pertinentes analyses sur l’œuvre du réalisateur.
Et aussi :
Les séances jeune public avec « La Belle et la Bête » de Jean Cocteau.
Les séances pour les sourds et malentendants avec « La Gloire de mon père » d’Yves Robert.
Le muet du mois : « Les Cheveux d’or / The Lodger » d’Alfred Hitchcock.
Le « perdu de vue » (séance consacrée aux oubliés de l’histoire du cinéma) avec « La Truite » de Joseph Losey.
Des films récents ayant remporté les suffrages des critiques et du public : « The Ghost Writer » (Roman Polanski), « Appaloosa » (Ed Harris), « De vrais mensonges » (Salvadori), « Poetry » (Changdong), « Somewhere » (Sofia Coppola), « Vous allez rencontrer un bel et sombre inconnu » (Woody Allen)…
