Quand rien ne va… Les éléments se sont déchaînés contre l’OGC Nice, qui s’incline (2-0) à Valenciennes au terme d’une partie qui ne marquera pas les esprits.
Pour les niçois, un résultat positif pourrait signifier la quasi-certitude de jouer en L1 la saison prochaine.
Une éclaircie dans ce manque de réussite patent ? La défaite n’est ce soir d’aucune conséquence au classement. En bas, seul Auxerre (qui était distancé) a gagné. C’est le statu quo dans la seconde moitié du classement : Nice reste quatorzième et compte toujours quatre précieux points d’avance sur la zone rouge. Un moindre mal dans cette après-midi cauchemardesque…
Vivement mercredi prochain pour un autre match-vérité contre Lille qui revient au galop pour le sprint final pour le ticket de la Champions League.
Un match à oublier. Dans tous les sens du terme. Quasi biaisé dès le début : une friction Anin – Mater surjouée par le roublard défenseur nordiste, et Nice est à dix avant même le quart d’heure de jeu. Pas glop. Et encore, c’était avant que le sort s’acharne…
De cette défaite (2-0) à Valenciennes, il n’y a vraiment pas grand-chose à retenir.
Disputé dans un faux rythme permanent, il bascule définitivement sur deux rebonds malheureux. Alors que l’exclusion ne semble pas perturber les Aiglons plus que leurs adversaires, le match tarde à s’emballer. Quand Valenciennes accélère, la défense veille et repousse. Mais sur un centre boxé par Ospina, la balle ricoche sur Digard et permet à Kadir de trouver le but (1-0, 35e). Et plus rien de notable ne se produit jusqu’à… un coup de billard.
La poisse !
La seconde période a redémarré sur cette semblable impression de faux rythme. Nice tente de sortir, coulisse bien quand le cuir est perdu. Mais que le Gym est malchanceux quand Ospina se couche bien dans les pieds d’un adversaire et renvoie le ballon… sur le pied du capitaine niçois : le poisseux n’a pas le temps de bouger que la balle est rentrée (2-0, 52e). C’en est trop pour le Gym.
