En 2010, 32 % des Français de plus de 18 ans étaient engagés dans une activité bénévole dans le domaine sportif, humanitaire, économique, écologique, culturel ou social. Ce nombre, qui ne cesse de croître depuis 20 ans, place la France dans la moyenne européenne et concerne des situations extrêmement diverses (degré d’implication des individus, taille des associations concernées, domaines d’intervention, etc.).
En 2010, 32 % des Français de plus de 18 ans étaient engagés dans une activité bénévole dans le domaine sportif, humanitaire, économique, écologique, culturel ou social.
Ce nombre, qui ne cesse de croître depuis 20 ans, place la France dans la moyenne européenne et concerne des situations extrêmement diverses (degré d’implication des individus, taille des associations concernées, domaines d’intervention, etc.).
En faisant de 2011 l’année du bénévolat et du volontariat, l’Union européenne visait précisément à encourager l’engagement des citoyens, mais aussi à favoriser l’intégration professionnelle des jeunes.
De manière générale, le bénévolat permet de concilier intérêts individuels et intérêts collectifs. Il est cependant confronté aux défis de l’individualisme et du vieillissement de la population, lesquels tendent à modifier les besoins des bénévoles comme des bénéficiaires de leurs actions. Le bénévolat s’inscrit également dans un contexte d’évolution du monde du travail et des modalités d’action des pouvoirs publics, qui invitent à questionner les conditions de son exercice.
Dès lors, comment promouvoir l’engagement bénévole et comment soutenir les nouvelles formes de bénévolat adaptées aux mutations économiques et sociétales, sans risquer de trop l’encadrer ou de trop l’institutionnaliser ?