La traditionnelle cérémonie du prix de la ville aux bacheliers « mention très bien » a eu lieu hier dans le magnifique écrin du jardin de la Villa Masséna.
Les récipiendaires, en bon nombre, accompagnés de leurs parents pas peu fiers, ont reçu le diplôme en présence de quelques proviseurs et autres membres de l’académie de Nice.
Un bel in d’après-midi pour ses jeunes qui ont brillamment réussi leur sortie du monde de l’adolescence et qui retrouveront à l’automne les chemins les plus différents et variés des études supérieurs.
Le maire de Nice a voulu témoigner aux jeunes lycéens sa satisfaction et leur souhaiter un brillant avenir, en rappelant les racines de ce diplôme que, par mémoire , fut mis en état par Napoléon en 1808 à l’occasion de l’instauration de l’Université de France.
Depuis, beaucoup d’eau est passée sous les ponts, et les 31 bacheliers de la première promotion sont devenus aujourd’hui des milliers et des milliers grâce à l’égalité des chances et à la méritocratie républicaine
Il est vrai que ce petit plus qui est la « mention très bien » laisse bien espérer pour beaucoup d’entre elles et eux.
Enfin, parmi les 197 ayant droit, des félicitations particulières vont à THomas Schmitt qui a obtenu la meilleure moyenne ( 19,86/20), à la plus jeune lauréate Victoire Bonaud (15 ans), au plus jeune lauréat Simon Bahadoran (16 ans) , aux « jumeux Louis et Maxime De Moro ( 17 ans) unis aussi dans la… réussite et, enfin, au lauréat départemental du concours national de la Résistance et de la Déportation, Jean Grimaldi.
