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22 novembre 2024

Bruno Roblès, Incroyable mais vrai !

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robles.jpg Nice-Premium : Comment vous décrirez-vous ?

Bruno Roblès : Plutôt jovial, déconneur, pas prise de tête.

N-P : Incroyable ?

B.R. : C’est ça. Je suis un garçon incroyable mais vrai. (Rire)

N-P : Pour vous que veut dire « Incroyable » ?

B.R. : Toutes les choses qui sortent de l’ordinaire, qu’on n’a pas l’habitude de voir. C’est le but de cette émission. On fait ça depuis cinq ans sur TF1. Depuis janvier, j’ai une nouvelle équipe, en l’occurrence, en la personne de Nathalie Vincent. On a une émission un peu plus riche en reportages. On a changé le décor, il fallait bien mettre un coup de pinceau après cinq ans d’existence. On est en mensuel depuis janvier.

N-P : Une nouvelle équipe donc ?

B.R. : Oui, l’ancienne équipe m’a quitté. On repart sur une nouvelle formule.

N-P : Depuis sa diffusion, quelle histoire incroyable vous a le plus marqué ?

B.R. : Il y a pleins d’histoires. J’ai eu l’occasion de voir pas mal de reportages et pas mal d’histoires. Ce que j’aime bien dans cette émission, c’est qu’on raconte des histoires, des histoires humaines hors du commun.

N-P : C’est vous qui sélectionnez les histoires diffusées ?

B.R. : Avec Denis Vincenti qui est rédacteur en chef de l’émission. On se fait des réunions sympathiques et on essaie de voir ce qu’on va mettre en place et dans quel ordre. On essaie vraiment de raconter des histoires avec des images loufoques qu’on peut voir. La plupart du temps, les reportages sont faits maison sur des gens incroyables mais vrais : qui ont des particularités, qui ont eu un drame dans leur vie et qui arrivent à assouvir leur passion dans n’importe quelles disciplines. On essaie de faire en sorte que l’émission raconte d’abord des histoires.

N-P : Comment vous découvrez ces reportages ? Ce sont les gens qui vous les envoient ?

B.R. : On fait appel aux gens qui ont eu une histoire incroyable dans leur vie. A ce moment-là, on refait la constitution. Sinon, il y a des gens qui viennent de temps en temps nous voir. Mais on va surtout à leur rencontre.

N-P : Il y a qu’en même des histoires vraiment loufoques dans votre émission.

B.R. : Oui, ce n’est pas en France qu’on a les plus fous. A l’étranger, il y en a pas mal. Dans le tiercé, il y aurait les allemands qui ont pas mal de fous, les Etats-Unis, il y en a beaucoup, même énormément, et puis un peu l’Asie. C’est un mélange de tous ces genres qui font la richesse de cette émission avec des histoires poignantes et parfois loufoques avec des gens un peu timbrés.

N-P : Outre « Incroyable mais vrai », vous présentez également une autre émission.

B.R. : Oui, je fais le top 50 du rire. Ce sont des prime time. Il y en a quatre dans l’année. C’est un classement sur un thème par exemple, le rire sur le couple, le rire sur le rapport père/fils … On thématise l’émission et on a des extraits de sketchs, de films concernant ce thème là.

N-P : Animer un jeu à la télévision, ça ne vous attire pas ?

B.R. : Oui, oui, ça me brancherait. D’ailleurs, je cherche à en faire avec la chaîne. J’ai déjà enregistré plusieurs pilotes. Je ne désespère pas.

N-P : Des projets en cours ?

B.R. : Le nouveau jeu en l’occurrence. Et puis sur RFM, l’après-midi entre 17h et 20h, un peu de radio avec « Face à face live ».

N-P : Y a-t-il quelques choses d’incroyables selon vous, sur la Côte d’Azur ?

B.R. : … Oui, tout est incroyable ici. J’ai vécu deux ans et demi à Nice, avenue du Deaufiné. Le temps est incroyable pour un mec qui vient de Paris. Ici, il y a qu’en même 300 jours d’ensoleillement. Il y a la mer qui est magnifique. Toute la Côte … de la frontière italienne jusqu’à Nice, j’adore. Je trouve ce coin magnifique parce que « escarpé », parce que « montagneux », « relief très découpé ». J’adore.

N-P : Un endroit que vous aimez particulièrement à Nice ?

B.R. : J’ai bien aimé la place Masséna. J’ai bien aimé à l’époque le théâtre de Verdure.

N-P : Vous dites que vous avez bien aimé, mais vous parlez au passé ?

B.R. : Oui, parce que le théâtre de Verdure n’est plus le même. Ce n’est plus la toile de tente, le chapiteau qu’il y avait avant pour les concerts. J’aimais bien ce côté un peu Rock’n Roll. Aujourd’hui, j’aime bien tout le centre avec la salle de spectacle Acropolis. C’est une belle réussite.

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