Pour chacune d’entre elles, du Terminus Nice-Nord au Terminus Pont-Michel (dont les noms changeront peut-être) en passant par la Vieille Ville, plusieurs noms inspirés de l’histoire et de la culture niçoises seront proposés aux habitants.
Chacun pourra faire part de sa préférence grâce aux bulletins de participation disponibles aux points Infotram, en mairie, dans les maisons de quartier, les agences ligne d’azur et à Nice Etoile. Il sera également possible de participer directement sur le site internet du tramway www.tramway-nice.org (dès le 10 février 2007).
A gagner : 10 participants tirés au sort gagneront une maquette du tramway au 1/100ème.
Les résultats : Rendez-vous à la Foire de Nice pour connaître les résultats du concours, les noms des stations seront dévoilés sur le stand de la CANCA du 10 au 19 mars 2007.
Station 1
- Le Rouret – Terminus : Nom de la copropriété limitrophe, au nord de la station terminus/dépôt, inspiré certainement par la commune éponyme des Alpes-Maritimes.
- Las Planas – Terminus : Ancien nom du quartier qui désigne, en ancien provençal, le plateau que l’on trouve après avoir gravi la colline.
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Nice Nord – Terminus : Nom utilisé dès l’origine pour des raisons pratiques, compte tenu de sa situation géographique la plus au nord du tracé.
Station 4
- Saint-Barthélémy : Nom qui désigne à la fois ce quartier de Nice et l’ancien vallon qui descendait du vallon Obscur jusqu’à la mer sur le tracé de l’avenue Cyrille Besset.
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Gorbella : Nom issu de l’ancien vallon Valgorbella, qui se prolongeait au delà de la place Fontaine du Temple.
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Square Boyer : Nom du square voisin ainsi appelé en mémoire de Roger Boyer, résistant qui faisait partie de la 6ème compagnie des Francs-Tireurs Partisans français et qui habitait le quartier Saint-Barthélémy.
Station 5
- Valrose : Nom issu du nissard « Vallaurosa » signifiant val éventé. Ce nom désignait le quartier de la « Fouònt cauda », soit la fontaine chaude, célèbre pour le château du baron russe Von Derwies construit entre 1860 et 1870 qui sert aujourd’hui de siège à l’université et à la faculté de sciences.
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Square Lépine : Nom issu de l’avenue du Doyen Jean Lépine (1876-1967), médecin français retiré à Nice en 1946 qui fut adjoint de Jean Médecin dès 1947. Il s’occupa de l’instruction publique pendant 18 ans, jusqu’en 1965. Il est notamment à l’origine du quasi-doublement du nombre de classes primaires, de la réalisation du lycée d’Estienne d’Orves et de l’installation de la faculté des sciences de Valrose.
Station 7 -
Charles de Gaulle : Nom issu de la proximité immédiate de la place du Général de Gaulle (1890-1970), président de la République de 1958 à 1969.
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Libération : Ancien nom de l’actuelle place du Général de Gaulle, appelée premièrement rond-point Saint-Etienne, puis successivement place Beatrix, place Gambetta et enfin place de la Libération.
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Malausséna : Nom de l’avocat François Malausséna (1814-1882) qui fut l’un des principaux artisans du développement de Nice après son rattachement à la France en 1860. Maire de 1860 à 1870, on lui doit notamment deux ponts sur le Paillon, l’installation actuelle de l’hôpital Saint-Roch, l’élargissement de la Promenade des Anglais, la construction de la gare Thiers, le reboisement du Mont Boron, l’ouverture du premier Casino…
Station 8 -
Thiers : Nom issu de la proximité de l’avenue Thiers qui commémore Adolphe Thiers (1797- 1877), écrivain, avocat, Président de la République de 1871 à 1873.
Station 11
- Vieux Nice – Opéra : Nom issu de la proximité immédiate de l’Opéra, édifice plusieurs fois détruit par les incendies, reconstruit sous le contrôle de Charles Garnier par l’architecte niçois François Aune et achevé en 1885.
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Vieux Nice – Jean Jaurès : Nom issu de la proximité immédiate du boulevard Jean Jaurès (1859-1914), homme politique français, philosophe et historien.
Station 12
- Vieux Nice – Cathédrale : Nom issu de la proximité immédiate de la Cathédrale Sainte-Réparate.
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Vieux Nice – Pont Vieux : Nom issu de la proximité immédiate du Pont-Vieux redécouvert à l’occasion des fouilles archéologiques.
Station 14
- République : Nom issu de la proximité de l’avenue de la République qui changea de nom à plusieurs reprises. D’abord appelée rue Victor en hommage au roi Victor-Amédée III (1726-1796) qui l’avait fait construire, elle s’appela rue de la République pendant la Révolution, puis rue Napoléon sous le Premier Empire puis de nouveau rue Victor à la Restauration jusqu’en 1902 où on lui restitua son nom actuel.
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Acropolis : Nom issu de la proximité avec le Palais des Congrès Acropolis.
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Paillon : Nom issu de la proximité du fleuve Paillon, recouvert à cet endroit et qui traverse Nice du nord-est au sud-est.
Station 15
- Armée du Rhin : Nom issu de la proximité avec la place de l’Armée du Rhin, qui commémore les victoires de l’Armée Rhin et Danube, dirigée par le Maréchal de Lattre de Tassigny, en France et Allemagne en 1944-1945.
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Palais des expositions : Nom issu de la proximité avec le Palais des Expositions.
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Risso : Nom issu de la proximité du boulevard Risso, qui commémore Antoine Risso (1777-1845), savant naturaliste niçois, de renommée internationale.
Station 16
- Vauban : Nom issu de la proximité de la rue du Maréchal Vauban (1633-1707), qui honore Sébastien Le Prestre, marquis de Vauban, ingénieur militaire et maréchal de France sous Louis XIV.
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Roquebillière : Nom issu de la proximité de la rue de Roquebillière dont l’appellation désignait un quartier connu dès le Moyen-âge et réputé pour la fertilité de ses cultures et de son vignoble.
Station 17
- Diables Bleus Faculté et Saint-Jean d’Angély Faculté : Noms issus de la proximité de l’avenue des Diables Bleus et de la faculté Saint-Jean d’Angély. Les Diables Bleus étaient le surnom des chasseurs alpins lors de la Première guerre mondiale dont les casernes étaient installées dans le quartier Saint-Jean d’Angély.
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Lou Sourgentin : Nom du ruisseau aujourd’hui disparu qui serpentait à travers les jardins potagers de Saint-Roch et de Riquier, issu du niçois Sourgent qui signifie source et qui a donné la rue Sorgentine voisine.
Station 19
- Virgile Barel : Nom issu de la proximité du boulevard Virgile Barel (1889-1979), député des Alpes-Maritimes pendant 25 ans.
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Denis Séméria : Nom issu de la proximité de l’avenue Denis Séméria (1834-1911), bienfaiteur de la ville qui lui a légué des tableaux de valeur et des immeubles destinés à fournir des revenus aux établissements de charité de Nice.
Station 21
- Bon Voyage : Nom issu de la proximité de l’église Notre Dame du Bon voyage qui a d’ailleurs donné son nom au quartier voisin.
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Pont Michel : Nom issu de la proximité du pont et de la rue Jules Michel (1881-1959), industriel niçois et conseiller municipal qui réparait le matériel ferroviaire de la SNCF et qui avait donc installé ses ateliers à proximité de gare de marchandises.
