Ces faits n’ont pas besoin de commentaire ! Et, malheureusement, ils montrent une fois de plus que les mamans des imbéciles sont parmi les femmes les plus prolifiques. Depuis quelques temps, il y a beaucoup trop de gens qui jouent avec le feu et trop d’hommes politiques qui cautionnent ces positions radicales et les comportements qui vont avec. Il serait bien que chacun assume ses responsabilités et qu’on revienne à un plus grand équilibre entre mots et actes. Pour les cas les plus coriaces, pas de découragement : Tout ça se soigne !
Alors que Christian Estrosi, Député-Maire de Nice, Président de la Métropole Nice Côte d’Azur, dédicaçait, hier à Paris, son dernier ouvrage « Fils de Nice » à la librairie Julliard située au 229 boulevard Saint-Germain, il a été l’objet d’agressions verbales et physiques.
Une dizaine de personnes qui s’étaient présentées comme des clients ont formé rapidement et violemment un cercle menaçant autour de Christian Estrosi en scandant des insultes et des propos incitant à la haine raciale.
Leur leader, d’un geste violent en direction de Christian Estrosi, a renversé les piles de livres qui se trouvaient entre eux sur la table.
Cette démonstration de violences, verbales et physiques, dans un contexte national et international très tendu, ont terrorisé les clients et les personnels de la librairie présents et certains ont été rapidement pris de panique.
Une brigade de police de la BIVP (Brigade d’information de la voie publique) a pu intervenir rapidement pour mettre en fuite les agresseurs.
Quelques instants après les faits, plusieurs personnes – dont le leader national du Bloc Identitaire, Fabrice Robert, déjà condamné à Nice à 1 mois de prison pour distribution de tracts à la sortie des lycées niant l’existence des chambres à gaz – se sont glorifiées sur Twitter de la survenance de ces actes.
Christian Estrosi condamne fermement ces comportements haineux et violents incitant à la haine raciale. Il a immédiatement déposé une plainte au commissariat du VIIème arrondissement à proximité de l’Assemblée Nationale pour menaces physiques et verbales ainsi qu’incitation à la haine raciale.