Après les accusations de Me Ouassini Mebarek qui a déposé plainte contre X pour violation de correspondance, complicité et recel, le représentant de l’État a fait, ce vendredi, une mise au point dans un communiqué clair et sec.
Cependant, des deux choses l’une: soit le président-avocat de l’association voit les ombres où il n’y a pas , soit il y a bien une « pipelette » quelque part.
En attendant qu’un Sherlock Holmes « à la socca » nous dévoile la solution, il nous reste que prendre acte de la déclaration de la Préfecture ( ci-dessous):
L’Institut musulman niçois En-Nour (IMEN) a déposé plainte contre X pour violation du secret de la correspondance. C’est dans ce cadre que l’avocat de l’IMEN a commenté par voie de presse la-dite plainte et a mis directement en cause un représentant de l’État.
A ce titre, le préfet des Alpes-Maritimes apporte les éléments suivants.
Tous les courriers d’importance dont la préfecture est destinataire ou émetteur sont connus du préfet des Alpes-Maritimes dont lui-seul est responsable de la diffusion.
De plus, aucune information adressée par l’Institut musulman niçois En-Nour n’a été transmise à la ville de Nice.
Donc, le préfet des Alpes-Maritimes dément catégoriquement les propos diffusés par l’avocat d’IMEN.
Pour autant, le préfet des Alpes-Maritimes se tient personnellement à l’entière disposition des enquêteurs, le cas échéant, afin de leur apporter tous les éléments jugés utiles à l’instruction de cette plainte contre X