Quel est le problème ?
Martine nous explique: « Les residents ne cessent de se plaindre de l’encombrement des trottoirs dans les rues du quartier Notre dame. Il est très difficile, pour certaines personnes agées ou personnes ayant des poussettes, de se rendre chez les commerçants, à l’église Notre-Dame, à la poste, depuis l’Avenue Durante sans passer sur la route ou les conducteurs énervés vous écraseraient presque. Le problème est encore plus grave pour les personnes handicapées qui voudraient circuler en chaise roulante. C’est proprement impossible dans l’état actuel des choses, non seulement à cause de l’encombrement des trottoirs, mais aussi à cause du stationnement anarchique systématique des véhicules sur les passages pour piétons »
Que s’etait-il passé jusqu’ici ?
D’après les avis recoltés, pas grand chose; les trottoirs sont toujours encombrés comme malheureusement dans d’autres parties de la ville et cela rend le climat execrable: car pour réponse les riverains entendent souvent, « on ne peut rien faire contre l’incivisme… ». Les gens sont un peu énervés, pietons comme automobilistes. Des palettes depassent sur la rue, les trottoirs sont rétrécis à une peau de chagrin, sans parler des caniveaux bondés d’ordures notamment le dimanche car personne ne nettoie ce jour là. Derrière l’église Notre dame, il fait bon vivre malgré les problèmes mais ce genre d actes collent une mauvaise réputation au quartier.
Et Maintenant ?
Comme nous a dit Robert: il est temps que les pouvoirs publics prennent le problème à bras- le-corps et fassent appliquer les règlements qui existent. Depuis l’arrivée d’un nouveau chef au poste de police municipale de Saetone, la negociation a repris. Depuis peu, les places ont été enfin marquées au sol pour que les commercants respectent les passants et soient ainsi plus respectés. Comme quoi un peu de volonté permet de faire avancer les choses. La consultation publique permettant d’envisager la relance du projet de Parking Notre Dame, laisse envisager un réaménagement de grande ampleur du quartier. Mais meffi disent les riverains, On verra à l’usage.
Conclusion?
Au fond ce problème n’est-il pas général à la ville? Est-ce l’incivisme ou le manque de volonté? Tout peut-il redevenir possible, comme le disait un slogan présidentiel et cela même si la volonté n’est pas vraiment là? Ce sujet ne manquera pas parmi d’autres d’occuper les débats jusqu’au Primptemps 2008. L’encombrement abusif des trottoirs fait parti des sujets de proximité