Dans le cadre de l’opération « Coeur d’opéra », l’Opéra de Nice a ouvert ses portes à 550 personnes handicapées. Organisée par la mairie de Nice et l’association Lions Club, c’est la deuxième année que cette initiative a lieu.
<img src= »IMG/jpg/opera-2.jpg » alt= »opera-2.jpg » data-description= »L’Opéra de Nice a accueilli 550 personnes handicapées moteur et mental dans le cadre de l’opération « coeur d’opéra ».
©Justine Peltier – Nice Premium » align= »left » />
« « Coeur d’opéra » est une magnifique initiative ! » Lauriano Azinheirinha, premier adjoint délégué à la jeunesse, se réjoui de l’organisation de cet après-midi. « Ça me fait toujours quelque chose quand je vois tout ces gens avec les yeux pétillent » confie-t-il. L’idée d’organiser ces festivités est à mettre au crédit de trois personnes. Jacques Dejeandile, conseiller municipal subdélégué aux handicaps en fait partie. « Cette idée nous l’avons eu avec ma collègue, Maty Diouf (conseillère municipal subdéléguée à l’intégration et lutte contre les discriminations) et Franck Ferrari, le baryton » explique-t-il. Cette année ce en sont pas moins de 550 handicapés, physiques ou moteurs, qui ont pu assister à ce concert. « L’an dernier seul le bas de la salle était ouvert, aujourd’hui tout l’Opéra a été mis à disposition » ajoute Jacques Dejeandile.
Une initiative soutenue par le Lions Club Nice Doyen
« L’association du Lions Club a permis la réalisation de tout cela » enrichit le conseiller municipal. En effet, Raoul Caruba, membre du Lions Club Nice Doyen, indique que « l’organisation de ce genre de manifestation est nécessaire. Ça redonne de l’espoir à des personnes souvent en difficulté et c’est là toute la réussite de cette opération ! » L’association avait déjà permis à de nombreux enfants handicapés de passer une journée à Luna Park en décembre dernier. « Le Lions Club est une association qui se veut au service des autres et ces opérations sont une nécessité » ajoute-t-il. Maty Diouf, conseillère municipale subdéléguée à l’intégration et lutte contre les discriminations, conclut par ces mots : « il fallait faire quelque chose pour les handicapés. Dans ce cas, ce ne sont pas eux qui vont à la culture, mais la culture qui vient à eux ! » Les sourires scotchés sur les visages à la sortie de l’opéra sont la preuve de la réussite de l’opération.
