Près d’un an après le déménagement de la Banque Alimentaire des Alpes-Maritimes dans de plus grands locaux, sa raison d’exister, ne faiblit pas. Son action se fonde sur la gratuité, la lutte contre le gaspillage, le don, le partage, le bénévolat et le mécénat. Le Conseil général des Alpes-Maritimes, solidaire des plus démunis, se mobilise pour accompagner et soutenir cette association.
Près d’un an après le déménagement de la Banque Alimentaire des Alpes-Maritimes dans de plus grands locaux, sa raison d’exister, ne faiblit pas. Son action se fonde sur la gratuité, la lutte contre le gaspillage, le don, le partage, le bénévolat et le mécénat.
Elle appartient au réseau des 79 Banques de la Fédération Française des Banques Alimentaires, qui collectent gratuitement des denrées auprès de plusieurs sources d’approvisionnements, les trient, les gèrent et les stockent dans leurs entrepôts dans le respect des règles d’hygiène et de sécurité alimentaire, et les partagent ensuite avec un réseau d’associations et de CCAS.
Le Conseil général s’engage, également, auprès d’autres associations d’aide alimentaire telles que le Secours Populaire, les Restos du cœur ou encore la Croix Rouge.
A l’approche des journées de collectes nationales, les 23 et 24 novembre, c’est l’ensemble des citoyens qui sont appelés à se mobiliser, notamment ceux des Alpes-Maritimes qui se sont montrés très généreux l’an passé en offrant 171 tonnes de denrées alimentaires soit 342 000 repas.
