Récupération de Donnèe
6.8 C
Nice
23 novembre 2024

« Mado la Niçoise » fait le show en faveur de la Banque Alimentaire

Derniers Articles

Jusqu’au 5 avril 2024, les 17 centres AnimaNice se mobilisent en faveur de la Banque Alimentaire des Alpes-Maritimes pour une collecte sous le signe de l’art et la culture. Mado la Niçoise prête sa voix en tant que marraine de l’organisme.

« On n’a qu’un seul souhait, c’est un jour devenir inutile », s’enthousiasme Philippe Pradal, un des fondateurs de la Banque Alimentaire des Alpes-Maritimes. Mais pour l’heure, l’organisme remet le couvert cette année pendant un mois (du 5 mars au 5 avril), avec l’aide des centres AnimaNice de la ville. Et pour la deuxième année consécutive, c’est Noëlle Perna qui incarne, non pas Mado la Niçoise, mais le rôle de marraine de la Banque Alimentaire.

« Noëlle Perna apporte son image et sa notoriété au bénéfice de cette noble cause », explique Jean-Luc Gagliolo, adjoint délégué à l’Éducation, à la Culture à l’école, au Livre, à la Lutte contre l’illettrisme, à l’Identité niçoise et aux Loisirs pour tous. Appelée par une amie d’enfance devenue bénévole pour la Banque Alimentaire, Noëlle Perna n’a pas hésité. « J’ai tout de suite compris la dimension du travail qui était fait. Tout l’intérêt et la nécessité du projet », renchérit la comédienne. L’an dernier, l’organisme avait récolté 1,5 tonne de denrées alimentaires, soit plus de 3 000 repas.

L’art et la culture au service de la solidarité 

Depuis 2016, les centres AnimaNice organisent des ateliers et des spectacles en échanges de quatre produits alimentaires par personnes. « La vocation de l’art, c’est quand même d’ouvrir le cœur des gens. C’est aussi de fédérer, de prendre conscience qu’on est tous reliés », raconte Noëlle Perna. Et pendant ce mois de collecte, l’accès à la culture et à l’art sont facilités. Entre spectacles pour tout âge, représentations de danse et ateliers artistiques, il y en a pour tous les goûts. 

Et c’est avec la diversité d’actions proposées que la Banque Alimentaire espère collecter jusqu’à 2,5 tonnes cette année. « C’est un moyen pour tous ceux qui ont un peu de cœur, d’accéder à la culture. Simplement par un geste généreux. Allier l’esprit et le cœur, ça n’a jamais fait de mal à personne », conclut Jean-Luc Gagliolo. 

Auteur/autrice

spot_img
- Sponsorisé -Récupération de DonnèeRécupération de DonnèeRécupération de DonnèeRécupération de Donnèe

à lire

Reportages