Alors, suivez-nous pour ce petit tour du monde, qui pourrait bien vous donner quelques idées…
Attirer l’attention, façon africaine
Promenez-vous en « petit-pagne » transparent pour attirer le regard de votre homme. Bien plus qu’un simple accessoire ou gri-gri, le petit pagne, aussi appelé bethio en wolof joue un rôle primordial dans les techniques de séduction de la femme africaine et surtout sénégalaise. Il est à l’origine le sous-vêtement traditionnel de la femme. Autrefois réalisé dans des tissus brodés, on le trouve aujourd’hui dans des matières transparentes. Au top de la tendance aussi, le pagne tricoté en fil de pêche, ou les pagnes de couleurs différentes superposés ! Le petit pagne est souvent accompagné d’un collier de perles porté autour des reins, bien embaumé, parfumé d’encens et de produits exotiques. Essentiel dans l’intimité du couple, les africains lui confèrent un énorme pouvoir de séduction. Il est considéré comme un moyen infaillible pour ensorceler et garder l’homme à la maison…Alors, oubliez vos strings, boxers et autres brésiliens et adoptez ces dessous exotiques !
Plus d’intensité, façon geisha
Pour un orgasme encore plus intense, il va falloir « muscler votre Lotus rouge » ! Kézako me direz-vous ? Et bien, il s’agit du grand secret des Geishas, repris aujourd’hui par les adeptes du Tao sexuel chinois…Une sorte de gymnastique du vagin, à l’aide d’un oeuf de pierre ou de bois vernis…aujourd’hui on parle des « boules de geisha ». Le but : apprendre à contrôler les contractions de sa « chambre de béatitude » pour mieux embrasser « la tige de jade » du partenaire et décupler le plaisir. Posologie : entraînement au moins trois fois par semaine !
Réchauffer le partenaire, façon esquimau
Les femmes esquimaux, pour stimuler le sexe masculin, ont une pratique ancestrale : le placer dans un fourreau en peau de phoque gelée. Il paraît que la fraîche température provoque des picotements qui donnent bien des idées coquines aux esquimaux… Vous ne trouvez plus votre peau de phoque ? Essayez avec un gant de toilette et quelques glaçons…
Plaisirs sucrés, façon égyptienne
D’accord, vous vous considérez vous-même comme la meilleure potion aphrodisiaque qui soit…mais bon, on peut bien se faire aider de temps en temps. Il y a très longtemps, sur les rives du Nil, les Egyptiennes y avaient d’ailleurs déjà pensé. Leur secret ? Enduire leur corps de miel. On disait alors que cette vieille coutume agissait comme un formidable philtre d’amour parfumé…Hmm, alors…miel de lavande ou miel d’acacia ?
Beauté intime, façon océanienne
Les mœurs sont bien différents du côté de l’île de Chuuk, au nord de l’Océanie. Là-bas, nul besoin de salle de fitness ni de yaourts allégés pour être la plus belle. Ce qui fait la beauté de la femme, c’est l’aspect de son sexe. D’ailleurs, il est courant que les garçons pénètrent la nuit dans les maisons des filles, endormies ou feignant de l’être, pour soulever leurs vêtements afin d’observer leur plus bel atout, demande en mariage en jeu !
Faire monter le désir, façon japonaise
Laissez-vous attacher avec art et tendresse mesdames : les Japonaises elles, en raffolent. En occident, le bondage, qui consiste à contraindre la personne de quelque manière que ce soit, est souvent assimilé au sado-masochisme. La différence fondamentale est pourtant que dans le bondage pur, la contrainte est un but, alors que dans le sado-masochisme il s’agit d’un outil parmi d’autres. Au Japon, le bondage, appelé Shibari est un art érotique ancestral qui fait partie intégrante de la société. On trouve même des écoles et des spécialistes en la matière, appelés « maîtres ». Il s’agit d’un rituel très raffiné, chaque entrave (attache) portant son nom propre, de la plus simple à la plus compliquée, nécessitant une parfaite maîtrise et expérience. L’objectif est double : l’esthétique du corps et sa stimulation. Au final, lorsque le Shibari ne dérive pas, il reste un jeu érotique, « une sophistication de l’ordinaire ».
Source www.feminfos.com