Qui dit mercredi, dit cinéma. Nous vous proposons aujourd’hui notre sélection de films de la semaine, de quoi vous guider au mieux dans les salles obscures.
1. La Nuit se traîne – Michiel Blanchart
Un voyage hypnotique où l’obscurité devient l’ultime protagoniste. Ce film audacieux vous entraînera dans une nuit sans fin, où chaque minute qui passe semble étirer le temps jusqu’à l’étouffement. Michiel Blanchart, déjà remarqué pour sa maîtrise du suspense, nous plonge ici dans un univers onirique et troublant. Peu d’informations filtrent sur le casting, mais les premières images promettent une expérience cinématographique hors norme, où la frontière entre rêve et réalité s’efface.
Ce soir-là, Mady, étudiant le jour et serrurier la nuit, voit sa vie basculer quand il ouvre la mauvaise porte et devient accidentellement complice d’une affaire de grand banditisme. Au cœur d’une ville en pleine ébullition, Mady n’a qu’une nuit pour se tirer d’affaires et retrouver la trace de Claire, celle qui a trahi sa confiance. Le compte à rebours est lancé…
2. Alienoid-L’Affrontement – Choi Dong-hoon
Quand le futur rencontre le passé, le choc des civilisations devient inévitable. Cette fresque épique signée Choi Dong-hon, maître du blockbuster sud-coréen, mêle science-fiction et arts martiaux dans un duel interstellaire spectaculaire. Alienoid nous propulse à travers le temps, suivant des personnages prêts à tout pour sauver leur monde. Avec un casting de premier ordre, dont Kim Tae-ri et Ryu Jun-yeol, ce film promet une immersion totale dans une bataille sans merci, où l’humanité joue sa survie.
Lorsque les aliens ont envahi la terre ; Ean, jeune protectrice, s’est rendue dans le passé pour tenter d’inverser le cours de l’histoire. Aidée d’Initiés aux pouvoirs légendaires, la jeune femme doit désormais retourner à notre époque pour affronter l’Alien Originel lors d’une ultime bataille décisive pour sauver l’humanité.
3. Fêlés – Christophe Duthuron
Une comédie décalée où les fous rires fusent à chaque réplique ! Christophe Duthuron revient avec une nouvelle pépite, cette fois-ci centrée sur un groupe de marginaux hauts en couleur. Porté par un casting irrésistible, dont Pierre Richard et Eddy Mitchell, Fêlés raconte l’histoire d’une bande de vieux copains qui, à l’approche de la retraite, décident de tout envoyer valser pour vivre leurs rêves les plus fous. Préparez-vous donc à une avalanche de gags et de situations improbables, le tout servi avec un humour grinçant qui fait mouche.
L’Arc-en-ciel est un authentique lieu associatif à Marmande qui accueille des personnes ordinaires mais violentées par la vie. Ses adhérents se soutiennent mutuellement dans leur lutte contre les difficultés quotidiennes. Quand on menace de les expulser, un élan de solidarité s’organise autour de Pierre, le fondateur, pour sauver cette maison d’accueil unique.
4. La Prisonnière de Bordeaux – Patricia Mazuy
Une descente dans les abîmes de l’âme humaine, portée par une Isabelle Huppert au sommet de son art ! Patricia Mazuy signe ici un drame intense et oppressant, où la liberté devient un concept lointain. Huppert incarne une femme incarcérée à Bordeaux, dont l’esprit, tout comme le corps, se retrouve prisonnier d’une situation qui la dépasse. Le film explore ainsi les thèmes de la culpabilité, de la rédemption, et de la folie, avec une profondeur rarement atteinte au cinéma. Une œuvre puissante qui ne laissera personne indifférent.
Alma, seule dans sa grande maison en ville, et Mina, jeune mère dans une lointaine banlieue, ont organisé leur vie autour de l’absence de leurs deux maris détenus au même endroit… A l’occasion d’un parloir, les deux femmes se rencontrent et s’engagent dans une amitié aussi improbable que tumultueuse…
5. La Belle affaire – Natja Brunckhorst
Entre rêve et réalité, le destin tisse ses fils de manière mystérieuse. Natja Brunckhorst nous livre ici une histoire poignante et lumineuse à la fois. Les choix d’une vie peuvent ainsi tout bouleverser. Le film suit le parcours d’une femme en quête de vérité et d’identité. Tout en explorant les méandres de l’âme humaine avec une sensibilité rare. Porté par une réalisation soignée et une interprétation remarquable, « La Belle affaire » s’impose ainsi comme une véritable pépite du cinéma d’auteur. Il s’agit, en somme, d’une comédie très bien interprétée sur la réunification allemande !
1990, en pleine réunification complexe des deux Allemagne, les ouvriers d’un même quartier d’ex-RDA se retrouvent sans emploi. Ils découvrent un jour l’emplacement de milliers de billets est-allemands voués à être détruits. Ils ont trois jours pour s’en emparer et convertir l’argent en Deutsche Mark, en montant l’affaire qui changera leur vie.