Les victimes de l’attentat seront indemnisées par le Fonds de garantie des victimes des actes de terrorisme et autres infractions (FGTI).
Ces personnes pourront notamment faire établir leur « préjudice » par un « examen psychiatrique » ou au moyen d’un « dépôt de plainte » dans un commissariat; les victimes étrangères sont également concernées.
Les premières indemnisations pour les victimes seront versées « dès la fin de la semaine prochaine », a annoncé la secrétaire d’Etat à l’aide aux victimes, Juliette Méadel, après avoir visité la cellule d’aide niçoise située au Centre universitaire méditerranéen (CUM), ce samedi.
Plusieurs associations de victimes ont par ailleurs dit craindre que les personnes traumatisées à Nice, de par leur grand nombre et la difficulté qu’elles auront à prouver leur présence sur les lieux de l’attentat, soient privées de toute indemnisation.
« Nous veillerons à ce que les victimes, qu’elles soient choquées ou qu’elles soient indirectement touchées (parents des victimes), a assuré la ministre.