Ca commence à bien faire… Hier après-midi, des militants CGT ont fait irruption devant la fédération du Parti socialiste des Alpes-Maritimes. Ils ont exigé d’être reçus, « mais ni nous, ni la police n’avions été informés de cette action » affirme Xavier Garcia, secrétaire du PS06.
Seule les deux salariées et l’élue municipale Christine Dorejo, qui était de passage, étaient présentes à ce moment-là.
Les deux salariées ont été rapidement prises à partie et menacées. L’une d’elle a été touchée par un jet de pétard et, par la suite, n’entendait plus d’une oreille et a été prise de violents maux de tête et conduite chez le médecin. L’autre, âgée de 22 ans, terrorisée par les insultes, les menaces physiques, les jets de pétard et les violents coups dans la porte était en état de choc.
Xavier Garcia condamne ces agissements: « Ces comportements envers deux salariées, qui plus est des femmes, sont proprement inadmissibles, surtout de la part de gens issus du grand syndicat qu’est la CGT. Il va sans dire qu’ils ne resteront pas sans suite et qu’une plainte sera déposée ».
Ces actes font suite à d’autres d’il y a quelques semaines, quand une autre incursion de militants cégestistes s’était terminé avec les murs et vitrines de la fédération socialiste tagués.
Une fois c’est déjà trop, deux c’est inadmissible !
Il faudra que les responsable de ce syndicat reprennent rapidement la main sur ces agités avant que la situation ne dérape et qu’eux mêmes n’en deviennent « complices ».
A jouer avec le feu, on risque vite de se (faire) brûler !
Doit-on rappeler à ces émeutier le traité de la liberté de J.S. Mill qui définit si bien la liberté personnelle, civile et sociale par rapport au libre arbitre , ce qui semble la devise de ces chefaillons sans légitimité.
Faute de quoi, on devrait réfléchir sur une maxime de Charles Darwin, père de l’évolutionnisme : » les humains sont des animaux mais les animaux ne sont pas des personnes ».