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22 novembre 2024

Mars : le mois de la femme

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Monique Giraud-Lazzari
jpg_giraud.jpgCette femme est unique dans la vallée du Paillon. Pourquoi ? Et bien,
parce que c’est la seule femme maire du canton de Contes. Elles sont
13,9 % en France. Depuis 2008, Monique Giraud-Lazzari, enseignante
de mathématiques et d’art plastique, est maire de Coaraze. C’est par
une volonté d’agir pour son village que cette passionnée s’est lancée
dans la politique. « Les femmes ont une autre façon d’appréhender le
pouvoir. Elles ont moins d’égo. Je pense qu’on a beaucoup plus de
diplomatie. Dans ce monde masculin, ce n’est pas tous les jours facile,
mais avec doigté et patience, on arrive à se faire entendre », nous dit-elle.

Marinette Pariat
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Cette responsable du service des espaces verts de la ville de
Contes
travaille au milieu de trois hommes et le comble c’est qu’elle est leur chef ! « On est une bonne équipe. On a tous besoin des uns des
autres. Le résultat est du à la capacité de chacun », commente-t-elle.
Donc, pas question de « chef » ! Marinette est « tombée dans le
jardin » en suivant son mari. Ensemble pendant 4 ans, ils ont travaillé
au Château du Vignal : « C’était féérique ! » Cette passionnée de
peinture sur toile compose, aujourd’hui, ses couleurs avec les fleurs,
les plantes et les arbres : des tableaux naturels qui embellissent la ville
de Contes.

Catherine Jourdin
jpg_jourdin.jpg
Quand elle était enfant, elle était mélomane et frottait, déjà, les
cordes de son violon avec son archet. Sa passion pour la musique
l’a conduit à devenir professeur de violon. « Je suis en général
passionnée de culture que j’aime partager avec les autres », précise-
t-elle. Cette bibliothécaire musicale au conservatoire de Nice,
qui vit entourée de musiciens, est également, depuis 2007, présidente
de l’association Espace Art et Culture de Contes
, succédant
à Françoise Barraquier et Jacqueline Alquier. « La parité est
respectée dans le milieu de la culture. Il n’y a pas de discrimination
», explique-t-elle.

Nicole Formento
jpg_formento.jpg Du côté du quartier du Gheït, une terre agricole se dessine au pied du bastion contois. Là des courgettes, demi-longues, longues, rondes, des haricots, des tomates, des salades, des oignons et des pommes de terre sont plantées par des mains féminines. Le chef
d’exploitation
s’appelle Nicole Formento. Cette fille de paysans
mentonnais, qui a épousé un agriculteur contois, a pris sa relève en
2000. « La femme est l’avenir de l’homme », non ? « C’est, surtout,
une liberté de pouvoir travailler avec la nature et à l’air libre »,
commente-t-elle.

Djema Tounsi
jpg_tounsi.jpg Au départ rien ne prédestinait cette secrétaire drapoise, qui jonglait
entre le bénévolat et sa vie de famille, à entrer dans le monde de
l’animation. Et pourtant ! Après s’être retrouvée au chômage, elle
entre en tant que femme de ménage à l’OMJCL mais très vite, on
détecte en elle son « talent » d’animation, et de communication. Elle
devient animatrice à l’OMJCL. Mais, Djema, n’est pas qu’une animatrice.
« C’est la Mama de la Condamine qui inculte les bonnes valeurs
de la vie à nos enfants. C’est un pilier de Drap », commente une
drapoise.

Karine Brege
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Dès sept ans du côté de la Charente, elle enfile ses premiers chaussons : c’est le coup de foudre ! Dès lors, la danse rythmera sa vie. Et quand on lui demande ce qu’elle souhaiterait faire plus grande, elle répond « danseuse. Avec passion et ténacité, elle gagnera des concours, et dansera dans des compagnies sur Paris. Et puis la danseuse, décide de transmettre sa passion, elle devient professeur de danse. Ce métier la conduira en 1999, à Contes, où elle enseigne la danse classique et le jazz au Sagittaire. La danse, c’est ? « Une manière de s’exprimer sans les mots » répond-t-elle.

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