Bien évidemment, toutes ces entreprises prennent leurs précautions et tentent de « prévoir » l’avenir. Des sociétés d’études se sont d’ailleurs spécialisées pour établir des projections sur le futur, afin de bâtir des prévisions fiables.
Mais une chose est vraiment difficile à prévoir : c’est l’ « imprévisible » et ses conséquences. A tort, les variations météorologiques font en général partie de cet « imprévisible », qui dérègle bien souvent, pour ne pas dire régulièrement les prévisions traditionnelles, de vente, de chiffre d’affaires par exemple.
Aujourd’hui, on sait que la météo et ses variations influencent entre 60% et 80 % du PIB en France, ce qui est considérable. Les récents évènement météorologiques, et les variations de températures que nous avons vécu, on le sait, ont eu parfois des conséquences négatives, ou positives, inattendues. (voir ce qui s’est passé cet été)
En d’autres termes bon nombre de secteurs économiques sont dits « météo-sensibles », et réagissent par conséquent de façon très évidente aux aléas normaux de la météorologie : une hausse ou une baisse des températures, plus ou moins de pluie selon les périodes, …
Les entreprises travaillant sur des secteurs météo-sensibles, qui ont entrepris des démarches pour maîtriser et/ou pour prévoir ces aléas météorologiques, se dotent d’informations fondamentales et maîtrisent leur business.
Sachant que leur secteur est météo-sensible, quelle peut être la structure du business espéré en fonction des prévisions météorologiques, pour les jours, les semaines, voire les mois futurs ?
La réponse à cette question permet non seulement d’affiner les prévisions « business » en fonction de prévisions météorologiques adaptées à une problématique mais aussi de préparer la mise en place des produits ou de la modifier, de mettre en avant certaines gammes de produits plus adaptées au contexte lié à la météo, de préparer la logistique en amont pour fournir un surplus de produits, ou l’inverse, d’investir en communication de façon adaptée.
Sur ce dernier point, il faut bien intégrer que les paramètres météorologiques (température, précipitation, humidité, …) ne sont pas homogènes sur l’hexagone et que cela a, bien entendu, des répercussions sur les plans de communication.
Pour aborder ces sujets passionnants Jean Carle (Méteo France)….. Et Michel Hébert President de Jump France /omnicom une des 10 premières agences françaises exposeront leurs expériences lors de la conférence du 29 Novembre à 18h30 au siège de Nice Matin, 214, Rte de Grenoble……
