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21 novembre 2024

Nice rend hommage à Shimon Perez lui dédiant l’Esplanade du Jardin Albert 1er

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Vendredi 17 mai 2024 a eu lieu l’inauguration de l’Esplanade du Jardin Albert 1er, sous le nom de l’ancien président Israélien, Shimon Peres.

La Ville de Nice rend hommage à l’ancien Président de l’Etat d’Israël et Prix Nobel de la Paix, Shimon Peres, ce vendredi 17 mai 2024. En lui attribuant le nom de l’Esplanade située au Jardin Albert 1er. Après le décès de Shimon Peres, en 2016, la Ville de Nice avait organisé une cérémonie pour saluer cet homme, prix Nobel de paix et de justice. Après l’inauguration du Jardin de l’Arménie, le jeudi 16 mai, il restait à inaugurer une dernière place, avec la présence de sa fille Tzvia Walden Peres.

Pour lui rendre hommage une plaque est dévoilée ce vendredi après-midi par Christian Estrosi, l’ambassadeur d’Israël en France, Joshua Zarka, et Tsvia Walden Peres, fille de Shimon Peres et présidente du Centre Peres pour la paix et l’innovation. La Ville de Nice a voulu rendre hommage à l’ancien président israélien, ayant combattu toute sa vie pour la légitimité de son pays et l’entente avec le peuple Palestinien.

Un rappel des évènement du 7 octobre

Tout d’abord, la cérémonie débute par le discours de Tzvia Walden Peres, qui évoque la grande amitié que son père entretenait avec la ville de Nice et de son maire, Christian Estrosi.

“Chère Shimon Peres, nous aurions besoin de vous en ce moment, de votre conviction, de votre lucidité, de votre courage. Pour faire face à l’épreuve terrible que nous vivons aujourd’hui, une épreuve commencer à l’aube du 7 octobre. Comment aujourd’hui prendre la relève de Shimon Peres ? C’est dire afficher notre soutien indéfectible à Israël dans ces temps difficiles. C’est être intransigeant face à l’antisémitisme. C’est donc lutter contre le LFI qui a la guerre civile comme objectif, à l’apologie du terrorisme comme méthode. C’est défendre notre modèle de l’universalisme républicain, car c’est celui qui peut nous permettre d’échapper à tous ces dangers, tous ces confusionnismes, toutes ces assignations identitaires quelles soient islamistes ou d’ailleurs. C’est ce que nous faisons en donnant à cette esplanade ce beau nom de Shimon Peres, où il sera en bonne compagnie entre l’allée Netanya et le square Yitzhak-Rabin. intervient juste après, Christian Estrosi, maire de la ville de Nice. 

Christian Estrosi revient sur l’indignation du soutien de la ville à Israël

Face à l’indignation il y a quelques mois, du drapeau israélien flottant au-dessus de la mairie de Nice, Christian Estrosi campe sur ses décisions : “ Naturellement, les portraits des 130 otages défilent toute la journée sur l’ensemble des panneaux de la ville de Nice est une exigence pour nous. Il n’est pas question, à un seul instant, que nous ne mettions un terme à ces exigences. De les faire vivre parmi nous ici dans cette ville. Tout comme les couleurs sur le fronton de la mairie, le drapeau de l’Israël. Je ne décrocherais aucun drapeau, ni ne débaptiserais aucune rue, allée ou esplanade. Je ne m’excuserai pas de soutenir la légitimité de l’État d’Israël et de son droit impérieux à se défendre. J’assume et je revendique.

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